Cours de cuisine : Laos et Birmanie

Pendant mon voyage en Asie, il y a déjà deux ans, j’ai suivi deux cours de cuisine, le premier au Laos, le second en Birmanie.

Cooking lesson en Birmanie, avec deux jeunes coréennes… J’ai préparé du tofu !

Je ne m’étais jamais vraiment replongé dans mes cours, remettant toujours à plus tard l’occasion de refaire ces recettes.

Alors voilà, je me suis enfin décidé à le faire, et à saisir chacune d’elles sur le blog. Cela nécessite de les traduire, et même passer par l’OCR pour gagner du temps (je ferai un article sur le sujet). J’ai utilisé DeepL pour la traduction, histoire de s’affranchir de Google : ça fonctionne plutôt bien, même si une relecture est nécessaire (et c’est pratique pour les noms de légumes ou d’épices dont je connaissais pas le nom anglais !).

J’ai donc suivi un premier cours à Luang Prabang au Laos, donné par les chefs du « Tamnak Lao Restaurant ». C’était l' »Evening class », donné en 2h30, où avec une jeune couple d’anglais nous avons réalisé chacun un plat, assisté à la démonstration de quelques autres, et sommes repartis (après les avoir dégustés) avec un petit livret de 12 recettes. Ce petit livret était très bien fait, car il commençait avec quelques pages sur la culture et la cuisine du Laos, et sur les ingrédients de base (et leurs équivalents européens, chose très pratique !). J’ai également traduit ces pages qui sont très intéressantes.

Le deuxième cours de cuisine, je l’ai suivi à Nyaung Shwe, près du lac Inle, au Myanmar (Birmanie). Il était donné par Zu Zu, une jeune femme très sympathique (et dynamique) ; cette fois, j’étais avec deux jeunes coréennes, et nous avons passé la matinée et une bonne partie de l’après-midi, après une visite au marché, à cuisiner quelques plats, puis à les déguster bien sûr. Pas de petit livret cette fois, juste un « flyer » avec les recettes, mais je devrais m’en sortir pour les retranscrire ici.

Pour l’instant, j’en suis au Laos, avec 2 pages sur la culture et les ingrédients et déjà 6 recettes disponibles, que vous trouverez en haut du menu « Journal de Voyage » :

J’ai bien sûr réalisé chaque recette avant de la publier. Et désolé, mais ne vous attendez pas à de super photos de plats, je ne suis manifestement pas doué pour le dressage ! Déjà, je m’applique à faire la recette, et puis c’est bien le goût le plus important non ? 😉

Pour l’instant, je vous recommande chaudement le Panaeng Gai, un mélange de poulet et de porc cuit dans une sauce coco et épices… Véritablement délicieux, et très facile à réaliser. Et la Salade de Luang Prabang vous apprendra à faire une mayonnaise avec des jaunes d’œufs durs ! 😎

La suite à venir au fur et à mesure, au gré de mes envies culinaires…

OpenMediaVault : Sauvegarde & Restauration des containers Docker

Lors de mon article sur l’organisation de mes sauvegardes sur mon NAS OpenMediaVault, il me manquait la bonne façon de sauvegarder les containers Docker.

Je sauvegardais avec rsync le répertoire où se trouve Docker, il y avait des milliers de fichiers, et je ne pense pas que j’aurais pu faire grand chose de cette sauvegarde en cas de problème ! 🙁

J’ai donc cherché du côté de Docker, et sans surprise Docker propose sa propre solution pour la sauvegarde des containers. Les principales commandes sont expliquées sur ce schéma :

Les principales commandes pour la sauvegarde & la restoration

L’idée est donc de créer une image de chaque container (commande COMMIT), puis de les sauvegarder au format .tar (commande SAVE). On voit sur l’image les commandes LOAD et RUN qu’il faudra utiliser dans l’autre sens pour la restauration.

Suite à un crash disque, j’ai été amené à restaurer ces images Docker, et comprendre qu’ils ne contiennent en fait que les binaires permettant de créer des containers à l’identique (même version), compatibles avec nos fichiers de configuration existants. J’ajoute donc une partie « Restauration » à cet article (avec explications et exemple pas-à-pas), qui ainsi sera plus complet.

Ensuite, il fallait que je copie ces fichiers .tar sur mon PC à l’aide de rsync, puisque j’ai déjà un serveur rsync qui tourne sur ce dernier. Il ne restait plus qu’à faire un peu de ménage avec ces images et fichiers créés sur le NAS ou sur le PC pour avoir quelque chose de propre.

J’ai donc préparé un script qui fait tout ça, que j’ai ensuite ajouté en tâche crontab au système. Ainsi mes containers sont sauvegardés chaque semaine.

Voyons voir un peu tout cela en détail. On aura ainsi un script automatique pour la sauvegarde de images, puis comment les restaurer et recréer les containers docker à partir de ceux-ci.

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L’homme qui mit fin à l’histoire – Ken Liu

Un autre Ken Liu, en fait celui par qui j’ai entendu parler de cet auteur de SF. Comme il était dit que ce mini-roman comportait des scènes difficiles, j’avais préféré aborder l’auteur par un recueil de nouvelles, La ménagerie de papier.

Ce roman d’une centaine de pages ne peut pas vraiment être classé dans la SF : mis à part qu’un scientifique ait mis au point un moyen de retourner dans le passé, le sujet est traité comme un documentaire historique, et en l’occurrence celui d’un crimes de guerre et crimes contre l’humanité. C’est plus un prétexte semble-t-il pour se remémorer ces faits peu connus en occident, écrits sous la forme d’une suite d’interviews de différents intervenants, comme un documentaire.

Il s’agit donc de l’Unité 731. En 1931, en Mandchourie (territoire aujourd’hui chinois annexé à l’époque par les japonais), une unité militaire japonaise a procédé à des expériences terribles (vivisection sans anesthésie et autres horreurs chimiques) sur des humains (des civils chinois) ((Lisez la page Wikipedia si vous voulez en savoir plus et si vous avez le cœur bien accroché)). Le Japon a longtemps nié son existence, et a fini par la reconnaître en 2002, tout en se dédouanant de toute compensation, les réparations d’après-guerre ayant déjà été réglées…

Un sujet difficile donc. Le roman aborde plusieurs questionnements, comme à qui appartient l’Histoire ? Le territoire étant un état indépendant contrôlé par le Japon à l’époque, la Chine actuelle a-t-elle finalement quoique ce soit à revendiquer ? Quelle est finalement la valeur d’un témoignage individuel ? Quant aux déclarations de vieux soldats japonais ayant fait partie de cette unité, ne sont-ils pas déjà séniles, ou à la recherche de reconnaissance médiatique ?

Finalement, je ne sais pas trop en voulait en venir Ken Liu, sauf à parler de cet épisode, et à vouloir démontrer que de telles choses peuvent toujours recommencer, et même rester inpunies :

Les historiens estiment qu’entre deux et cinq cent mille Chinois, presque tous des civils, ont été tués par les armes bactériologiques et chimiques mises au point ici et dans des laboratoires annexes : anthrax, choléra, peste bubonique. À l’issue de la guerre, le général MacArthur, commandant en chef des forces Alliées, a préservé les membres de l’Unité 731 de toute poursuite judiciaire pour crimes de guerre afin de récupérer les résultats de leurs expériences et de soustraire lesdites données à l’Union Soviétique.

Ken Liu, né en 1976 en Chine, est un écrivain américain de science-fiction. Il est de littérature anglaise, mais aussi d’informatique, et a même travaillé chez MS avant de rejoindre une startup.

Ajout de Quicktags pour les commentaires

C’est une chose que j’aurais du faire depuis longtemps : permettre une mise en forme minimale lorsque l’on écrit un commentaire (insérer un lien, etc…).

Moi-même, lorsque je répondais à un commentaire, j’étais obligé d’aller le modifier ensuite via l’interface d’admin de WordPress…

Je suppose que j’étais réticent à ajouter un nouveau plugin, moins on en a, mieux c’est. J’ai fini par m’y intéresser à la suite d’un commentaire posant la question.

J’ai fini par ajouter une fonction utilisant wp_editor() pour intégrer Quicktags dans le formulaire de commentaire, tout en dévalidant TinyMCE suite à un bug.

Voyons voir cela…

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Erreur « Could not initialize GLX » au lancement du client Nextcloud (Flatpak)

Gros problème hier : impossible de lancer mon client Nextcloud sur le PC, rien ne se passe en mode graphique, aucun message d’erreur.

Il s’agit du client Nextcloud au format Flatpak, c’était d’ailleurs la raison principale pour laquelle j’avais abandonné le système des Snaps d’Ubuntu/Canonical pour passer à Flatpak, son équivalent open-source (voir cet article).

Après avoir cru à un problème graphique avec le pilote propriétaire Nvidia, il s’est avéré que le problème venait en fait d’un alignement de versions entre ce pilote Nvidia utilisé par le système, et le « runtime » OpenGL utilisé par Flatpak.

Les deux versions doivent correspondre, sinon les applications Flatpak utilisant OpenGL ne pourront se lancer. Au moins, j’aurai appris quelque chose ! 💡 Voyons tout cela en détail, comment vérifier les versions, et comment régler le problème.

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La ménagerie de papier – Ken Liu

C’est sur reddit que j’ai entendu parler de cet auteur, et j’ai choisi ce recueil de nouvelles pour le découvrir.

Comme l’auteur le dit lui-même dans son avant-propos, il a commencé comme nouvelliste, et ce recueil contient les nouvelles les plus reconnues, mais aussi des textes dont il est fier. Première lecture idéale donc !

Et ça a plutôt été une bonne découverte, les récits sont dans des domaines très variés : science-fiction bien sûr, et dans tous les thèmes du genre, ou simplement imaginaire. Et toujours avec un sujet de fond, comme la mémoire, l’espèce humaine, la place de l’individu, l’amour,, la vie, l’Histoire, etc…

Le style est agréable, l’auteur profite souvent d’un simple changement de paragraphe pour changer de scène et de contexte, c’est un peu surprenant au début, mais on s’y fait, cela apporte une certaine vivacité au récit.

Je n’ai pas trop aimé « Le Livre chez diverses espèces », mais c’est la seule nouvelle dans ce cas. La première du recueil, « Renaissance » vous plonge tout de suite dans le bain, avec comme sujet la capacité d’oublier : sommes-nous définis par nos actions ou par leurs souvenirs ? « La Plaideuse » m’a rappelé les enquêtes du juge Ti de Robert Van Gulik. Enfin la nouvelle éponyme « La ménagerie de papier » est une belle histoire pleine de tendresse, qui traite pourtant d’un sujet difficile.

Ken Liu, né en 1976 en Chine, est un écrivain américain de science-fiction. Il est diplômé de littérature anglaise, mais aussi d’informatique, et a même travaillé chez MS avant de rejoindre une startup.

Signal, premier spam – Jami pour remplacer ?

Hier, j’ai reçu mon premier message de spam (ou phishing c’est selon) sur la messagerie Signal :

Cela m’a surpris, et surtout déçu de voir ce genre de message arriver sur ce canal. Heureusement, Signal offre la possibilité de bloquer l’émetteur (le numéro émetteur n’est pas dans mes contacts), ce que j’ai aussitôt fait.

Mais tout de même, que se passe-t-il, et dois-je envisager de quitter Signal ?

J’ai d’abord lu cet article qui explique bien la situation. En fait, c’est mon numéro de tél qui a été « récupéré », Signal n’y est pour rien, et ne peut faire grand chose.

Signal est disons la moins mauvaise solution de messagerie en terme de vie privée à ce jour, mais a ses limites. Tout comme Telegram, on passe toujours par un serveur centralisé, et le code qui tourne sur ces serveurs n’est pas public ; on est dès lors obligé de croire sur parole les affirmations de respect de vie privée… Il faut bien reconnaître que tout cela n’est pas optimal ! 🙄

Jami

Je vais donc commencer à suivre de près une application de messagerie et de téléphonie (il peut aussi remplacer Skype) prometteuse, j’ai nommé Jami : soutenu par la FSF (Free Software Foundation), utilisant un modèle distribué (P2P), et bien sûr chiffré de bout en bout (standard X.509). Et c’est un projet GNU !

Pour l’instant, Jami ne supporte pas encore les groupes (sans serveur central, c’est forcément compliqué), mais le développement est en cours et la fonctionnalité devrait bientôt être disponible (pour des groupes de huit personnes dans un premier temps). Ce sera le moment de quitter Signal.

Voyons un peu tout cela en détail.

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L’astragale – Albertine Sarrazin

À Concarneau, la librairie où je vais a pour nom Albertine. En lisant L’anomalie, le prix Goncourt 2020, il était fait mention d’une librairie du même nom à New-York.

Je posais alors la question de l’origine de ce nom au libraire, qui me répondit que c’était effectivement une référence à la librairie de New-York, mais aussi à Albertine Sarrazin, auteur de l’Astragale.

Du coup, je lui achetais ce roman, dont il me prévînt du contenu parfois argotique, et qu’il s’agissait du récit autobiographique d’une cavale. Ce à quoi je répondais que les vrais récits ont toujours quelque chose de plus que les fictions, si belles soient-elles.

Albertine s’évade à 19 ans d’une prison-école en sautant d’un mur de dix mètres, se brisant l’astragale. Elle se traîne jusqu’à la route, et est ramassée par Julien Sarrazin, voyou comme elle, qui deviendra l’amour de sa vie.

C’est effectivement un récit écrit à fleur de peau, où l’on sent l’urgence de la vie, avec des raccourcis parfois saisissants, comme ici lorsqu’elle parle de son sauveur, et des hôtes qui vont l’héberger quelque temps :

Je sens chez mes hôtes, à son endroit, une cupidité servile, voilée par le ton camarade et complice, qu’équilibrent aux deux bouts le respect pour le type qui sait voler, et la condescendance pour le type qu’on dépanne.

J’ai trouvé le récit prenant, même s’il faiblit sur la fin, au fil des absences répétées de Julien. Le style est vraiment original et puissant, Albertine nous offre le récit de sa vie pendant cette période, sans fard ni faux-semblants, un monde éloigné du notre, avec d’autres valeurs et d’autres règles. L’idée d’une autre vie ne les effleure d’ailleurs même pas, c’est comme ça.

Albertine Sarrazin (1937-1967), née à Alger, est une femme de lettres qui a décrit sa vie de délinquante et de prostituée, ainsi que son expérience des prisons pour femmes. L’Astragale a été porté deux fois à l’écran, une première fois en 1968 par Guy Casaril (avec Marlène Jobert), puis en 2015 par Brigitte Sy.

À lire sa page Wikipedia, on peut vraiment parler de destin tragique : fille de l’assistance publique, adoptée (le père est médecin miliaire), violée à dix ans par un oncle, elle reçoit une éducation rigoureuse, et obtient de nombreux prix d’excellence. Indisciplinée, son père l’oblige à voir un psychiatre, puis la place en maison de correction. Ce sera le début d’un chemin vers la délinquance, les vols, la prostitution. Quand elle demande de l’aide à ses parents, ils obtiendront la révocation de leur adoption, chose rarissime. Son amour avec Julien sera entrecroisé de séjours en prison (pour l’un ou l’autre). Et quand enfin ils se trouvent un endroit pour vivre en paix, enfin heureux et « rangés », elle meurt sur une table d’opération à la suite d’une anesthésie mal préparée. Julien gagnera son procès en appel contre l’équipe chirurgicale.

Je suis pilgrim – Terry Hayes

C’est sur reddit weekend culture que j’ai entendu parler en bien de ce roman policier, ou disons plutôt ce « thriller » à base d’anti-terrorisme.

L’auteur, en bon scénariste d’Hollywood, ne lésine ni sur le niveau de la menace, ni sur l’intelligence et le danger du méchant, mais rassurez-vous le bien triomphera du mal. Happy-end oblige ! 😆

L’histoire démarre avec un meurtre « parfait » à NY qui va se retrouver lié à un complot terroriste du Moyen-orient à base d’arme bactériologique visant à détruire les États-Unis.

La façon dont les deux affaires sont liées est sans doute le point faible du roman (la ficelle est un peu grosse), et j’ajouterai que la manie que l’auteur a de nous prévenir quand son héros a loupé quelque chose, avec une phrase du style « je n’avais pas fait attention à cela, j’aurais du écouter, j’allais bientôt le regretter… » n’apporte pas grand chose au récit, et devient vite lassant.

Mais dans l’ensemble c’est assez bien mené, très prenant, et l’on ne s’ennuie pas tout au long des 900 pages que l’on dévore facilement.

Terry Hayes, né en 1951, anglo-australien, journaliste de formation, devient scénariste en participant à Mad Max 2, puis s’installe à Hollywood. Il a signé les scénarios de « Calme blanc » et « From Hell ». « I am Pilgrim » est son premier roman, publié en 2013, qui deviendra un best-seller.

Tous les hommes n’habitent pas le monde de la même façon – Jean-Paul Dubois

Auteur recommandé par ma frangine, qui me disait : « j’aime bien JP Dubois, c’est léger, bien écrit, souvent avec de l’humour ».

J’ai donc choisi ce titre-ci pour le découvrir, ayant obtenu le prix Goncourt 2019, gage de qualité minimale garantie ?

Alors bon, je rejoins à peu près l’avis de ma sœur, c’est agréable à lire, fluide, et léger… très léger.

Tellement léger que l’on se demande bien où Paul Hansen veut en venir à nous raconter sa vie depuis sa cellule, hormis la raison de son incarcération, que l’on attend sans grande impatience.

Il partage sa cellule avec Patrick Horton, colosse un peu simplet, accessoirement biker, qui permet de meubler un peu l’histoire, tout comme le père de Paul, pasteur danois exilé ayant perdu la foi il y a bien longtemps.

Une fois la raison connue, l’épilogue délivré, l’histoire se termine. On referme le livre, il ne s’est rien passé, tout est réuni pour oublier cette histoire très vite. Vivement l’édition poche pour mieux coller au principe de littérature de gare ! 😉

On se demande comment ce roman a pu obtenir le prix Goncourt ! Non pas qu’il soit particulièrement mauvais, mais parce que cela révèle un vide sidéral dans l’édition française, à moins que ce prix prestigieux ne veuille plus rien signifier.

Jean-Paul Dubois, né en 1950 à Toulouse, est un écrivain français. Il a auparavant suivi des études de sociologie, puis a été journaliste. Il ne sacralise pas l’acte d’écriture, et a même dit :

Je suis venu à l’écriture, car c’est le moyen de gagner sa vie le moins douloureusement possible

Nous voilà prévenus ! 🙂

Lectures, Ubuntu, Smartphone, Cinéma, entre autres…