J’avais vu un interview de l’autrice à la T.V., je m’étais dit que cette histoire de boat-people vietnamien pouvait être intéressante. J’en ressors légèrement déçu, la lecture est agréable, mais l’histoire manque de profondeur : il s’agit plus d’un exercice littéraire, réussi certes, mais voilà…
C’est le récit à deux voix de Khanh, le père, ingénieur mathématicien, et sa fille de six ans Tiên, qui quittent clandestinement le Vietnam devenu communiste. Khanh va petit à petit nous narrer leur histoire et les raisons de leur départ, quand Tiên avec ses mots d’enfant nous racontera comment elle vit cette aventure.
J’étais déjà partagé en entamant ce gros volume (1200 pages) contenant l’intégrale des nouvelles de Ernest Hemingway : j’avais lu quelque part que le meilleur d’Hemingway se trouvait dans ses nouvelles, alors quand j’ai vu cette édition Quarto, je l’ai commandée.
Entre-temps, la lecture de Simone de Beauvoir m’avait un peu refroidit sur le personnage et son œuvre. Voir cet article, dont voici un extrait :
Son individualisme impliquait une connivence décidée avec l’injustice capitaliste ; c’était celui d’un dilettante assez riche pour financer de coûteuses expéditions de chasse et de pêche et pratiquant à l’égard des guides, des
Livre prêté par des amis, j’avais gardé une très bonne impression de la biographie de Lester Bangs, un critique rock. L’idée de me plonger dans l’histoire des Rolling Stones n’était donc pas pour me déplaire.
En général j’aime bien les biographies, mais ici il s’agit d’une auto-biographie, celle de Keith Richards, cofondateur avec Mick Jagger, Brian Jones et Ian Stewart des Rolling Stones, le célébrissime groupe rock. Et c’est plutôt sa propre histoire que Keith raconte, avec une certaine franchise (à défaut de lucidité), mais aussi beaucoup d’estime personnelle ! 😯 Eh oui, c’est une rock star, et son …
Deuxième tome donc, après Le problème à trois corps, qui s’était révélé plutôt pas mal. Les suites étant ce qu’elles sont, il n’est pas toujours facile de rester au niveau du premier opus…
Ce sera le cas ici, je me suis plutôt ennuyé à lire ce gros pavé (700 pages), et pas seulement à cause des longueurs.
Le titre de « Forêt sombre » fait référence au concept suivant : l’homme est dans l’univers comme dans une forêt sombre, remplie de prédateurs dangereux. Signaler sa présence (comme en envoyant une sonde donnant notre localisation) est donc extrêmement dangereux, voir …
Je ne sais plus où j’ai entendu parler de ce roman (une trilogie en fait) de SF partant d’un vrai problème de physique, en l’occurrence « le problème à N corps« .
On appelle cela de la hard science-fiction, à savoir que les technologies, les sociétés et leurs évolutions décrites dans le roman sont supposées crédibles en l’état actuel de nos connaissances.
Dans le cas présent, les interactions entre deux astres sont connues et prévisibles (mouvement képlérien). Mais ajoutez un troisième astre, et la situation devient imprévisible.
C’est ce qui arrive sur une planète lointaine, où …
C’est plutôt rare que je lise le prix Goncourt de l’année avant la fin de celle-ci… Comme quoi tout arrive, et aussi qu’il est inutile de se précipiter, car ce n’a pas été un grand moment de lecture ! 😉
J’en avais entendu le ‘pitch’ à la radio : le même avion atterri deux fois à New-York, avec les mêmes passagers, à quelques mois d’intervalle… Un scénario digne d’un roman de science-fiction ; cela avait achevé de me décider.
Bien que la lecture soit agréable, je n’y ai rien trouvé de bien remarquable, pas plus dans le style que dans …
Je ne sais plus où j’ai entendu parler de ce polar qui comme son nom l’indique se passe à Bangkok… Mais cela m’a donné envie de le lire !
Bonne pioche, car même si l’auteur est britannique, il semble bien connaître son sujet, et nous embarque dans un thriller où l’inspecteur Sonchaï Jitpleecheep est un arhat, un saint bouddhiste, qui résout ses enquêtes avec l’aide de la méditation….
Les dérives de son pays (corruption, prostitution) nous sont présentées sous un angle inattendu, loin des poncifs des occidentaux : nos valeurs étant différentes, c’est finalement somme toute logique. Mais bon, …
J’avais beaucoup aimé L’Art de perdre du même auteur, alors quand ma sœur m’a recommandé la lecture de celui-ci, j’ai suivi son conseil. Et je n’ai pas vraiment accroché, ni à l’histoire, ni au style.
L’histoire me paraît être un prétexte à l’auteur pour donner son avis sur la société, et manque cruellement d’intérêt. Que ce soit les errements d’Antoine, assistant parlementaire d’un député socialiste en mal de vivre, ou ceux de « L », pseudo hackeuse à l’esprit perturbé.
Ma frangine parlait d’une histoire très ancrée dans la réalité sociale d’aujourd’hui… Franchement, je ne suis pas convaincu : si …
Troisième et dernier volet de cette trilogie… J’avais moins aimé le second, que dire du troisième ? Tout est permis dans cette suite, y compris faire revivre les personnages morts précédemment, ce qui permet de faire se rencontrer les personnages des deux premiers tomes, et de raconter encore la même histoire.
Autant dire que l’on va s’ennuyer ferme, avec ces nouveaux journaux entrecroisés de May et Molly. Déjà qu’il ne se passe pas grand chose… Heureusement le surnaturel est là, et permet à peu près tout ce que l’on veut, sans rien devoir expliquer : retour des disparus, passage dans …
Ce roman est la suite de Mille femmes blanches, que j’avais bien aimé, donc pourquoi ne pas continuer l’histoire ? Hélas, ce fût une déception, car cette « suite » n’est qu’une répétition du premier opus. Écrit seize ans après, ça ressemble fort à un objet commercial, destiné à surfer sur le succès qu’avait rencontré le premier tome.
Car on reprend la même histoire : un nouveau contingent de femmes blanches (alors que le projet avait pourtant été arrêté dans le tome 1), nouveau personnage principal féminin (Molly remplace May), nouvelle tribu (le chef Hawk remplace le chef Little …
Lectures, Ubuntu, Smartphone, Cinéma, entre autres…