Conseillé par mon ami Patrice, qui lit beaucoup, mais souvent des trucs que je ne lirais pas ! Bon, on se retrouve tout de même de temps en temps sur certains titres ou auteurs…
Alors forcément, John Le Carré, grand maître du roman d’espionnage et de la guerre froide, je me suis dit qu’il était temps de découvrir cet auteur, décédé en 2020 à l’âge de 89 ans. Ce roman est d’ailleurs le dernier publié de son vivant, d’autres posthumes sont à venir… 🙄
J’ai bien aimé celui-ci, d’abord parce que mes intuitions se sont révélées exactes (c’est toujours plaisant …
Ce petit roman est le véritable premier succès de Jack London, publié en 1903.
Il raconte l’histoire de Buck, un gros chien qui coule des jours heureux en Californie quand il est enlevé à son maître et vendu comme chien de traîneau en Alaska. Il va lui falloir apprendre à se défendre dans un monde hostile, que ce soit avec les hommes ou les autres chiens.
Petit à petit, Buck va s’imposer face aux autres chiens, se détacher des hommes après la mort d’un maître qui le respectait, et ressentir un appel plus puissant encore, plus atavique, celui des loups, …
C’est le récit le plus autobiographique de Jack London, l’histoire d’un jeune homme pauvre mais qui a déjà roulé sa bosse, et qui tombe amoureux de Ruth, une jeune fille de bonne famille. Doué d’une force de caractère et de travail peu commune, Martin Eden va devoir tout apprendre : parler correctement, se cultiver, lire et encore lire ; il est plein d’une énergie folle et vite persuadé de réussir comme écrivain, pour à terme mériter l’amour de Ruth.
Le récit jusqu’alors assez romanesque bascule dans autre chose et devient passionnant : Martin se révèle un intellectuel de haut niveau, …
C’est ma sœur Dominique qui m’a parlé à maintes reprises de cet auteur à la vie incroyable, dont j’avoue être passé un peu à côté (j’ai du lire Croc-Blanc à l’adolescence, je n’en ai aucun souvenir).
J’ai donc fait ma petite sélection parmi ses œuvres, et décidé de commencer par celui-ci, où Jack London nous raconte ses aventures de hobo (sorte de vagabond, ou travailleur sans domicile) pour nous en expliquer les bases, ce qu’il faut faire, ou éviter… Un témoignage intéressant de l’époque.
Connu en France sous le titre « Les vagabonds du rail », son titre original « …
Pour la plage, rien ne remplace un bon polar format poche ! En tout cas, l’édition Quarto que je lisais normalement (voir article précédent) n’était certainement pas appropriée ! Du coup, j’ai commencé par un Marc Behm choisi dans ma bibliothèque, puis un autre et enfin le dernier de ma collection… J’avais gardé un bon souvenir de ces polars à l’époque (il y a bien longtemps), de quelque chose d’original.
Les 3 romans de Marc Behm de ma bibliothèque
Bon, ce ne fut pas si génial que ça, et l’on est effectivement loin des polars classiques ! Les trois romans …
Je n’avais jamais rien lu de cet auteur, alors quand j’ai vu cette belle édition chez Quarto, classée sous la rubrique « Voyage » chez le libraire, ça m’a forcément donné envie.
JC Rufin, médecin de formation, a été l’un des pionniers de Médecins sans frontières. Il a également eu une carrière dans les ministères et la diplomatie (ambassadeur de France au Sénégal).
La couverture est belle avec cette ancienne carte du monde, le recueil sous-titré « Romans historiques »… Le titre lui-même me faisait penser à La mort en Arabie de Thorkild Hansen, puisque l’on appelait l’actuel Yemen …
Livre commandé suite à l’émission quotidienne de François Busnel « La p’tite librairie », où il recommande la lecture d’un roman, souvent au format poche. Pour celui-ci, la commande du libraire mit plusieurs mois à être livrée, le roman étant en cours de réédition… peut-être grâce à François Busnel ?
C’est l’histoire de Simha et Yakov, deux frères que tout oppose, faux jumeaux, et aussi différents l’un de l’autre physiquement qu’intellectuellement. À travers leurs vies, c’est l’histoire de la ville de Lodz en Pologne qui est contée, depuis la révolution industrielle jusqu’à la Grande Guerre et la Révolution russe. La …
Un polar de la série noire, sans doute noté lors de la lecture des chroniques de Jean-Patrick Manchette. Le roman est de 1981, ça date un peu, pourtant le thème est un classique toujours pas démodé : la C.I.A. et ses agents douteux voir corrompus…
C’est pourtant un terroriste nommé Félix qui se fait assassiner au début de l’histoire. Mais les Lybiens le prennent très mal, car c’était un ami du colonel Mourabet, successeur de Khadafi, mort d’une crise cardiaque provoquée par un accès de rage ! 😆
Les Lybiens sont persuadés que ce sont les américains qui sont …
L’auteur était passé sur « C à vous », et je me suis dit que ça pouvait valoir le coup de lire son dernier roman, afin d’avoir un point de vue de l’intérieur sur l’occupation russe dans le Donbas, le roman ayant été écrit avant la guerre actuelle.
La lecture s’est révélée agréable, et l’on s’attache vite aux pérégrinations de Sergueï Sergueïtch et de ses abeilles.
Sergueï vit dans un village abandonné, et pleine « zone grise », coincé entre l’armée ukrainienne et les séparatistes pro-russes. Ils ne sont plus que deux dans le village, Sergueï et Pachka, son ami-ennemi …
Fenua signifie « territoire » en Tahitien. L’occasion d’en apprendre un peu plus sur la Polynésie où ma frangine navigue depuis bientôt deux ans (le bateau a une sorte de visa de 3 ans, après il faut quitter le territoire !).
Patrick Deville va donc nous raconter à sa manière l’histoire de la Polynésie depuis l’arrivée des occidentaux (deux cents ans, ce n’est pas si vieux) : Bougainville et Cook les découvreurs, l’île de Pâques et la Bounty, Melville et Moby Dick, Pierre Loti et son frère médecin, Gauguin le peintre, Jack London, j’en passe et des meilleurs, ils sont …
Lectures, Ubuntu, Smartphone, Cinéma, entre autres…