Quelques petites modifications sur le blog… presque tout est visible sur l’image ci-contre.
De nouvelles petites icônes (encore, oui, mais cela améliore le rendu), la lecture des archives et de catégories qui affichent à la fois le début de l’article ET une image (si l’article en contient une), enfin la barre de recherche déplacée vers le haut.
Sans oublier le « Lire la suite » qui s’affiche à droite maintenant, avec une petite icône, comme vous pouvez le voir ci-dessous….
Première découverte de ce groupe sur un CD des Inrocks (Objectif 2011), avec le titre « She wants », un morceau entêtant et plutôt bien léché. Les Inrocks sont d’ailleurs plutôt enthousiastes sur l’album, le qualifiant d’album Pop de l’année 2011 (mais bon, ils ne sont pas à ça près non plus !).
Et donc, passant hier à La Défense, j’ai acheté l’album un peu au hasard. Et cette fois, heureuse surprise : dès la première écoute, on sent qu’il y a là un vrai album, avec un style personnel plutôt abouti ; les morceaux s’enchaînent pour notre plus grand plaisir… les arrangements sont soignés, la voix de Joseph Mount remarquable et parfaitement maîtrisée. C’est de la pop, ou plutôt de l’électro-pop, assez épurée, et le résultat est très agréable à écouter.
Premier extrait : le début de « She wants » :
Et un autre pour le plaisir, « The Look » :
Metronomy est un groupe anglais formé par Joseph Mount en 1999. Il s’est fait connaître par MySpace en composant des remix. The English Riviera est leur troisième album.
J’avais déjà entendu un morceau de cet album avec la sélection des Inrocks (Objectif 2011 Vol. 2), puis une critique très positive de France Culture sur Lykke Li avait achevé de me décider à l’acheter.
Finalement, je suis un peu déçu : les morceaux ne sont pas mauvais et assez homogènes dans l’ensemble, mais il manque quelque chose, peut-être un peu de génie, un éclair… C’est un peu trop lisse, un peu trop propre : qui a dit commercial ? Même si l’album est plaisant à écouter, il ne laisse pas une grande impression.
Comme la pochette, l’ensemble est assez sombre, avec des percussions très présentes ; la voix de Lykke Li, tantôt douce, tantôt forte, vaut certainement le détour. Là aussi, on aimerait qu’elle se déchaîne un peu plus.
Voilà le début du single de l’album, « Get some » :
Et le début de « Sadness is blessing », morceau où l’on peut mieux apprécier la voix de Lykke Li :
Lykke Li (née le 18 mars 1986) est une chanteuse pop-folk suédoise (ou encore indi, électro… on ne sait plus !). Wounded Rhymes est son deuxième album. Le premier, Youth Novels, était sorti en 2008.
J’ai entendu parler de ce livre sur France Culture, un samedi matin, lors de l’émission Répliques d’Alain Finkielkraut (émission que je n’écoute d’ailleurs pas).
Le sujet en était ce livre, et dès le début (au moment où j’allais éteindre la radio), l’un des deux invités déclarait : « Je voudrais dire aux auditeurs d’éteindre la radio, d’aller acheter ce livre, et de s’y plonger avec délices ». Finkielkraut était un peu embêté, mais c’est ce que je fis. Et je ne fus pas déçu, c’est effectivement un très bon livre.
C’est donc l’histoire de Niki, une jeune femelle fox-terrier qui se fait adopter par Mr et Mme Ancsa à force de pirouettes et autres artifices de séduction…
Nous sommes en Hongrie, en 1948 : après la guerre, l’Armée Rouge occupe le pays, les communistes arrivent au pouvoir et les années de stalinisme vont commencer. Mais on sait peu de choses sur ce qui se passe, si ce n’est que le nom des rues ou des places changent régulièrement…
Car c’est bien l’histoire de Niki qui nous est contée, et pas celle de ses maîtres : le passage de la campagne à la ville, la disparition du maître (emprisonné pour n’avoir pas compris que le communisme n’exclut pas la corruption), et la tristesse qui envahit Niki au fur et à mesure que les années passent.
Tout au plus le narrateur s’amuse-t-il à faire des comparaisons entre ce que peut ressentir un chien et un humain… ce qui ne manque pas de nous faire réfléchir un peu. La censure empêche d’écrire certaines choses, mais les métaphores peuvent être encore plus fortes. Les observations sur le comportement animal sont remarquables, tout cela dans un style clair et limpide.
Continuer la lecture… Niki, l’histoire d’un chien – Tibor Déry
Voilà près d’un mois que la dernière version d’Ubuntu est sortie, il était temps de l’installer. La mise à jour a duré un peu moins de 2 heures, ce qui est pas mal, mais avec une mauvaise surprise au redémarrage : écran noir.
Je crois que c’est la première fois que j’ai un problème de cet ordre lors d’une mise à jour. Je n’ai pas mis longtemps à le résoudre, mais j’imagine quelqu’un sans connaissance système (boot sans échec, login, démarrer startx pour voir le message d’erreur, puis éditer xorg.conf avec vi pour supprimer la ligne Driver « nvidia » qui posait problème), c’est vraiment pas cool… 🙁
À part ça, la nouvelle interface Unity est là, qui a tant fait jaser sur le net… Plus de menus déroulants pour chercher un programme, mais quelque chose qui se rapproche du Mac : le dash ! Pour le peu que j’en ai vu, c’est pas mal, même si elle est encore un peu jeune (quelques bugs, manque d’outils de personnalisation, etc…). Dans 6 mois, on aura certainement quelque chose de plus abouti.
C’est plus orienté raccourci clavier, je trouve. Pour chercher une application, appuyer sur la touche Windows, le dash s’ouvre, il ne reste plus qu’à taper le nom ou un mot clef d’une application : les icônes des programmes en relation s’affichent alors… C’est finalement plus rapide, même si la recherche semble être encore améliorable.
Gnome 3 n’est pas encore intégré (ce sera pour la version d’octobre), mais Gnome 2 peut toujours être chargé si l’on est réticent au changement (point non négligeable pour beaucoup de monde semble-t-il). Choisir « Ubuntu classique » à l’écran de login, ou passez par le Centre de contrôle – Fenêtre de connexion.
Sinon, Banshee remplace Rhythmbox comme lecteur audio par défaut. Là par contre, je garde Rhythmbox qui me convient parfaitement. L’interface d’Ubuntu One a été revue, et c’était plutôt nécessaire. Firefox passe en version 4, avec ses nombreuses améliorations.
Que ce soit avec Unity ou Firefox 4, on voit que la place réservée à l’affichage prend de l’importance, et c’est sans doute en relation avec les portables et autres netbooks…
Voilà, pas grand chose à en dire de plus. Si vous cherchez des articles sur la personnalisation d’Unity, allez sur le blog de Clapico, il a déjà fait pas mal d’articles tous très intéressants.
Deuxième article sur les changements apportés au thème, après celui-ci.
Le premier changement évident, ce sont les titres des rubriques dans chaque colonne : suppression de l’image de fond , et ajout d’une ligne en pointillé inférieure. Tout cela se fait avec les définitions CSS, c’est donc donc très facile. L’idée est de rendre le site plus sobre, la sobriété étant une qualité que j’apprécie particulièrement. 😉
J’en ai profité pour ajouter un léger effet d’ombre, qui donne un peu de relief. Il suffit d’ajouter la propriété suivante :
<span style="color: #800000;">text-shadow:1px 1px 1px #AAA;</span>
Propriété que j’ai également ajoutée aux titres des articles, en changeant également la couleur quand la souris passe dessus (de orange à gris).
Voyons voir un peu les autres modifications : les icônes, les tableaux, et surtout la navigation dont je suis particulièrement satisfait, sans doute parce cela n’a pas été simple d’arriver à ce que je voulais…
« Le canard enchaîné » – mercredi 25 mai 2011
« Le canard enchaîné » – mercredi 18 mai 2011
Après la Provence champêtre vue par Jean Giono il y a près d’un siècle, on reste dans le sud mais on passe à une ville contemporaine ; et pas n’importe quelle ville, puisqu’il s’agit de Marseille ! La ville de Izzo, celle qu’il a tant aimé…
Fabio Montale est le héros, flic des quartiers nords désabusé (bientôt déclassé) aimant la poésie, le jazz, l’alcool et les femmes… et voyant sa ville qu’il connait par cœur se transformer peu à peu, jusqu’à perdre son âme. La ville mais pas seulement, notre société aussi, qui ne sait pas où elle va, et où règnent la violence, la corruption, le racisme, la misère…
Dans Total Khéops, son enfance de petit voyou refait surface, nous permettant de connaître son parcours, tout en parlant du milieu Marseillais et de la corruption de la police. Chourmo traite de la misère sociale, de la dérive islamiste de jeunes émigrés paumés, et des manipulations dont ils sont l’objet, toujours par les flics et le milieu. Solea annonce l’arrivée de la Mafia italienne, se veut très documenté et est finalement assez inquiétant.
On peut se demander comment le rôle de Fabio Montale dans l’adaptation télévisée fût confié à Alain Delon ! Les deux personnages ne sont manifestement pas du même bord politique… à moins que Delon ne soit finalement un très grand acteur ? 😉
Cette trilogie commence, en guise de préface, par une passionnante et inédite biographie de l’auteur par Nadia Dhoukar.
Jean-Michel Izzo est né à Marseille en 1945 et meurt dans cette même ville en 2000. Fils d’émigré, passionné de poésie et de littérature, il adhère au PSU en 1996. En 1968, il est même candidat aux élections législatives de Marseille. Puis il adhère au PCF, devient rédacteur en chef de La Marseillaise (à cette époque un quotidien communiste). Il quittera le parti, préférant l’action concrète aux discours lénifiants. À noter qu’il vécu un temps à St-Malo, étant l’un des animateurs du festival « Étonnants voyageurs ».
Suite à l’impossibilité d’installer le thème Suffusion pourtant longuement préparé (voir cet article), et une fois renseignements pris (chez Free, la mémoire étant limitée à 32Mo, il est plus que recommandé de garder un thème assez basique), je me suis dit que je pouvais garder mon thème actuel mais que rien ne m’empêchait de le transformer à nouveau.
De plus, après la mise à jour en WordPress 3.1.2, j’avais des difficultés à réactiver le plugin WP-dTree (ci-contre), qui affichait les catégories et les archives sous forme d’arborescence dynamique : un plugin très bien fait, élégant, mais un peu gourmand et qui ralentissait d’ailleurs le temps d’affichage de la page d’accueil du blog. Adieu donc le beau WP-dTree ! 🙁
Et j’ai donc commencé à modifier petit à petit le thème existant pour le faire ressembler à ce que j’avais obtenu avec Suffusion. Voilà donc les modifications déjà apportées (il en reste, cela fera l’objet d’autres articles).