La dernière version d’Ubuntu vient de sortir, la 12.04. Le nom de code choisi est Precise Pangolin (le pangolin précis), ce dernier étant un petit mammifère insectivore vivant dans les régions tropicales et équatoriales d’Afrique et d’Asie du Sud-Est. C’est une version LTS (Long Time Support), et l’accent a été mis sur la robustesse, la finition et la performance.
Et donc pas vraiment de grands changements dans cette version. Vous trouverez ici un article très complet sur cette nouvelle mouture : améliorations d’Unity v5 (l’interface par défaut d’Ubuntu depuis quelques versions), améliorations de LightDM (l’écran de login), le client d’Ubuntu One réécrit totalement en Qt, GNOME Shell en v3.4, le noyau Linux 3.2, et quelques autres modifications peu apparentes à l’utilisateur.
Les versions précédentes ayant reçues pas mal de critiques en terme de qualité, le processus de développement a été modifié pour y remédier. C’est donc à priori une bonne version, et qui sera supportée pendant 3 ans donc (LTS).
De mon côté, j’en ai profité pour faire une installation au lieu d’une mise à jour. Cela faisait 3 ans je crois que je faisais des mises à jour (upgrade)… Ma partition root occupait 36 Go !! Après l’installation, je suis redescendu à 4 Go… Bien sûr je n’ai pas encore réinstallé tous les logiciels dont je me sers (je le ferai au fur et à mesure de mes besoins), mais le nettoyage valait visiblement le coup (MàJ: deux jours après, je suis à 9 Go).
Ce qui est très pratique, c’est d’avoir une partition home séparée, ce qui permet de retrouver ses réglages d’applications automatiquement. Ainsi, après avoir installé VirtualBox, mes machines virtuelles bien que stockées sur un disque externe ont été retrouvées sans avoir quoique ce soit à faire.
Voilà quelques notes prises durant cette installation, pour revenir à mon environnement habituel (avec des images).
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