Indexation baie Synology : installation de Synology-mediamon

L’indexation automatique d’une baie Synology n’est pas optimale, et pose souvent problème quand on passe par NFS pour copier les fichiers (par exemple). J’avais écrit l’année dernière un article pour installer le paquet “Media Indexer” de Francis Besset.

Hélas, depuis le passage en DSM 6, cela ne marchait plus vraiment : je retrouvais souvent le service arrêté. Et en allant aux nouvelles, le paquet a été retiré, et manifestement il ne faut pas compter sur une nouvelle version.

Je me suis donc tourné vers une autre solution appelée synology-mediamon. L’installation n’a rien de compliquée, mais elle se passe en mode « ligne de commande ». Je fais donc ce petit tuto en français, n’en ayant pas trouvé d’autres.

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Abraham et fils – Martin Winckler

Cadeau d’un ami… L’auteur est connu, j’avais il y a longtemps tenté de lire « La maladie de Sachs » pour m’arrêter assez vite.

J’ai donc été dans un premier temps agréablement surpris par cette histoire attachante, dans les années 60, de ce père médecin (forcément !) qui débarque dans une petite ville de province avec son jeune fils Franz, qui vient de sortir d’un coma et a perdu la mémoire de sa vie passée. Cela fera partie du mystère entretenu par le narrateur avant de nous en livrer les clefs.

Un narrateur aux multiples visages, puisque c’est parfois Franz qui prend sa place ; sinon, l’auteur reprend ses droits en nous avertissant dès le début qu’il connaît plein d’histoires, qu’il aurait pu en raconter une autre… Il interviendra parfois ainsi, sortant du récit sans ce que soit très pertinent à mon goût. « Les histoires, c’est la spécialité de la maison » est d’ailleurs la dernière phrase de ce roman.

Malheureusement, on s’ennuie assez vite dans celle-ci, pleine de beaux sentiments : le père bon médecin aux principes humanistes, le gentil fils plein de curiosité dans son monde en partie imaginaire, à la lisière de celui des adultes… Raconter des histoires c’est bien, avoir quelque chose à raconter c’est autre chose.

Les chapitres s’enchaînent à un rythme soutenu, ils ne font jamais plus de trois ou quatre pages, coupant parfois une action en son milieu. Chacun est affublé d’un titre assez convenu. À de demander si ce roman ne s’adresse pas aux adolescents…

Les journées se suivent et se ressemblent, le docteur Farkas et Claire son assistante se rapprochent, Franz et Luciane grandissent, les anecdotes se succèdent… Le sujet de la mort de la mère et du comas de Franz ne sont toujours pas abordées par le père qui s’y refuse. On apprend tout de même qu’il s’agit d’un attentat en Algérie…

Franz doit porter des lunettes, Franz va à la piscine, Franz est un grand lecteur de BDs et de romans d’aventures… Ah, le docteur Farkas lit le Canard enchaîné chaque semaine, preuve ultime que c’est un homme bien ! 😉 On finit donc par s’ennuyer un peu, il faut attendre le dernier tiers du livre pour qu’une histoire de résistants et d’une famille juive cachée dans la maison commence et apporte un deuxième souffle à cette histoire qui en avait bien besoin.

On passe alors du récit des adultes impliquées à l’époque dans l’histoire et cherchant à rétablir la vérité, à celle de l’enfant lisant le journal de la famille juive qu’il a trouvé caché dans le grenier. Pas mal, mais au final une énigme finalement assez banale, facilement résolue par le Sherlock Holmes local, père & fils réunis…

Franz est tout de même touchant avec ses interrogations d’enfant sur la vie, sur la mémoire… La mémoire qui est finalement le sujet de ce roman.

Martin Winckler, né en 1955 à Alger, de son vrai nom Marc Zaffran, est un médecin français connu sous ce pseudonyme comme écrivain. Il devient célèbre avec « La maladie de Sachs » (1998) qui reçoit le prix du livre Inter. À lire sa page Wikipedia, on se rend compte que ce roman est en partie autobiographique, le petit Franz étant le petit Marc. L’auteur nous promet d’ailleurs une suite…

Passage en boot UEFI d’Ubuntu sur le PC

Ça faisait un bout de temps que je traînais ce problème : un message d’erreur quasi systématique au démarrage du PC que je résolvais en redémarrant par la combinaison de touches Ctrl-Alt-Supp : en le faisant plusieurs fois, le PC finissait par démarrer.

error: environment block too small
error: attempt to read or write outside of disk ‘hd0’.
error: you need to load the kernel first.

Press any key to continue…_

Si je pressais « any key » pour continuer, j’obtenais un beau « kernel panic », et il fallait éteindre manuellement le PC. 🙁

J’avais cherché pendant pas mal de temps, lu pas mal d’articles sur divers forums, sans vraiment trouver de solutions : fichier /boot/grub/grubenv endommagé ? problème avec le disque SSD ? … J’en avais parlé dans cet article, qui date de 2014 : j’ai donc vécu avec ça pendant plusieurs années !! Utiliser la mise en veille évitait le problème. Et au pire, je démarrais sur un CD Boot Repair que je m’étais préparé, mais il était rare que j’aie besoin d’aller jusque là.

Et puis patatras hier, après avoir ajouté une belle carte graphique dans le boîtier (aucun rapport à priori), voilà que je n’arrive plus du tout à démarrer. Boot Repair ne me débloque pas non plus… Je suis bloqué.

Après quelques essais infructueux (amorcer sur le deuxième disque, puisque boot repair m’a installé grub sur les deux disques que j’ai, ou encore utiliser la toute dernière version de boot repair), j’ai fini par résoudre le problème en activant l’UEFI sur le PC ! Il a fallu pour cela faire quelques modifications sur le disque dur pas forcément évidentes, d’où cet article. J’ai principalement suivi ces deux tutos :

C’est le deuxième, en anglais, qui détaille comment convertir le disque dur.

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Une ville sans loi – Jim Thompson

Une ville sans loi - Jim Thompson Je suis plutôt fan de Jim Thompson, j’ai lu pas mal de ses romans policiers, mais ils ne sont pas sur ce blog, cela se passait « avant » ! Voir plus bas… Celui-ci vient d’être réédité par Rivages/Noir dans une nouvelle traduction (et sous un nouveau titre) : Wild Town a été initialement publié sous le titre Éliminatoires.

Dans ce roman, McKenna, que tout le monde appelle Bugs, arrive dans une ville champignon qui était encore une bourgade il y a peu, avant que l’on y trouve du pétrole… Et l’adjoint du shérif lui propose vite un boulot d’agent de sécurité dans le seul hôtel de la ville ! Trop beau pour être vrai, se dit Bugs qui sent vite que l’on veut se servir de lui, et que cela risque fort de se terminer là d’où il vient, et n’a aucune envie de retourner : en prison !

Entre Hanlon le propriétaire de l’hôtel et Joyce sa jeune et jolie femme, Lou Ford le shérif adjoint qui comprend tout plus vite que tout le monde, la belle Amy qui est si gentille, Rosie la belle femme de chambre… le jeu va être serré ! Bugs est bien décidé à ne pas se laisser faire, même s’il a tendance à agir par instinct, et à le regretter par la suite…

Ce n’est sans doute pas le meilleur Thompson, mais l’intrigue est prenante, les personnages consistants et l’ambiance parfaitement rendue ; et il faudra attendre le dénouement pour tout comprendre.

Revenons à mes lectures de cet auteur :  j’ai pris la photo de droite dans ma bibliothèque : ce sont tous les romans de Jim Thompson que j’ai lu, soit une vingtaine !

Je me souviens particulièrement de « Ici et maintenant » (son premier roman), véritable peinture sociale, en partie autobiographique, qui décrit les galères d’un apprenti écrivain obligé d’aller trimer à l’usine pour gagner la croûte de la famille… Dans la même veine, et toujours autobiographique, même si j’en ai moins de souvenirs, il y a « À deux pas du ciel« . Rien à voir avec des romans policiers, mais du vécu, et le tableau d’une époque et d’un monde qui m’avait marqué.

Et en voyant cette liste, les deux « Écrits perdus de Jim Thompson » (1929-1967 et 1968-1977) me donnent aussi envie de les relire.

Jim Thompson (1906-1977) est un écrivain américain de roman noir, un nouvelliste et un scénariste de cinéma. Côté français, le film « Coup de torchon » de Bertrand Tavernier a été adapté d’un de ses romans, « 1265 âmes » ; « Série noire » d’Alain Corneau avec Patrick Deweare est adapté de « A hell of a woman » (« Une femme d’enfer« ). Outre-atlantique, on peut aussi citer « Les Arnaqueurs » ou « The killer inside me » (« Le démon dans ma peau« ) comme autres adaptations connues.

Les empires coloniaux européens 1815-1919 – Henri Wesseling

Les empires coloniaux européens 1815-1919 - Henri Wesseling Le colonialisme est une période de l’histoire que je voulais mieux connaître, surtout après avoir lu Voyage au Congo d’André Gide. Le livre est resté pas mal de mois sur l’étagère avant que je m’y plonge, j’avais peur que cela soit un peu trop fastifieux…

Finalement, ce n’est pas ça le problème : sa lecture est assez facile et tout est très expliqué clairement. Mais voilà, c’est l’ouvrage d’un historien, et comme tel, son approche est assez spécifique, et ne satisfait pas un lecteur qui souhaite simplement qu’on lui raconte l’histoire de ces empires coloniaux.

Ici, les événements sont découpés en périodes temporelles, et l’auteur s’arrête fréquemment au milieu de l’histoire de la colonisation d’un pays car la période temporelle du chapitre est achevée, ce qui est un peu frustrant ! Il est aussi capable de faire référence à des événements par leur nom sans en dire plus, vous êtes à priori censé les connaître. 🙁

Même remarque sur la période traitée dans ce livre, et annoncée dans le titre : 1815-1919 : comme l’auteur le dit lui-même dans la conclusion : « on pourrait même soutenir que le colonialisme plein et entier n’a commencé qu’à partir de cette date« . Disons alors que ce livre ne parle que de la mise en place des empires coloniaux européens. CQFD. 😉

Ensuite, il y a de nombreuses pages consacrées aux détails sur qui occupe quoi et avec quel type de gouvernance, de qui dépend le gouverneur, etc… (toujours le travail de l’historien). Ce n’est pas forcément le plus intéressant… Enfin, il est parfois difficile de se faire une idée claire, tant les points de vue présentés sont flous et/ou contradictoires : par exemple le Portugal, pour la période 1870-1914 : économique ou pas économique, émigration ou pas, en une page, tout est dit et son contraire, selon les études qui y ont été consacrées.

On peut tout de même résumer tout cela :

  • Ce sont bien les intérêts économiques des nations qui ont primé partout, même si la forme a été différente d’un pays à l’autre. On peut y ajouter les militaires et les missionnaires comme prosélytes, chacun pour leurs raisons faciles à deviner.
  • Quant à dire (comme on l’entend souvent) que cela a tout de même permis à ces pays de se développer (routes, voies ferrées, ports, etc…), c’est loin d’être une évidence : tout cela a bel et bien été fait avec l’argent de ces pays, avec les travailleurs (forcés ou non ) de ces pays, etc…
  • L’esclavage a produit des effets durables, longtemps après son abolition. Des formes d’exploitation très violentes sont apparues. Les guerres coloniales ont été conduites sans scrupules, parfois apparentées à un génocide.
  • Enfin les sociétés coloniales sont en règle générale caractérisées par l’apartheid et la ségrégation.

J’ai pris quelques notes tout au long de cette lecture, en voilà le résumé.

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La carte perdue de John Selden – Timothy Brook

La carte perdue de John Selden - Timothy Brook Comme j’avais bien aimé Le chapeau de Wermeer, je me suis lancé dans ce nouvel opus de Timothy Brook. Cette fois, c’est une carte de la Chine du XVème siècle (ou plutôt de la mer de Chine) qui sert de prétexte pour remonter le temps.

Autant le dire tout de suite, « la carte » n’est pas aussi passionnante que « le chapeau ». D’abord parce qu’il y a beaucoup de conjectures avancées par l’auteur (le mystère de l’auteur de la carte reste entier), et parce que l’on sent que l’auteur a voulu réitérer un peu la même histoire, sans y parvenir pour autant : l’ensemble est un peu laborieux et parfois ennuyeux.

On peut aussi déplorer dans cette édition poche la taille des illustrations, et notamment des cartes. Elles sont beaucoup trop petites, en noir et blanc, et les nombreuses références à certains détails sont impossible à constater. Il en résulte une certaine frustration.

On y apprend tout de même des choses très intéressantes, je ne regrette pas cette lecture, loin de là. Nous sommes toujours à l’époque où le monde s’ouvre (XVIIème siècle essentiellement), et où les vieilles croyances sont remises en question : qu’on l’accepte ou pas, le monde suit sa marche en avant. En occident s’affrontent la théorie de la mer fermée ou ouverte, le droit au commerce équitable ou à la prise de contrôle du territoire (opposition entre les juristes Selden l’anglais et de Groot le hollandais), et l’orientalisme est déjà présent.

En orient, les routes maritimes sont très nombreuses et les connaître offre un avantage certain. À cette époque, on utilisait pour naviguer des portulans, qui donnaient les indications nécessaires aux marins pour aller d’un port à un autre, comme suivre tel cap pendant tant de temps, etc… En mer de Chine, il fallait souvent faire appel à des pilotes chinois, gardiens jaloux de leurs connaissances maritimes.

La fameuse carte a ceci d’exceptionnel que la mer en est le véritable cœur : ce sont les routes maritimes justement qui ont servi de point de départ aux tracés, les côtes n’étant dessinées que par la suite. C’est la seule dans ce cas à cette époque, l’auteur en est inconnu, malgré toutes les analyses de Timothy Brook (elle a probablement été réalisée par un chinois ayant vu des cartes européennes). Car la représentation sur une carte plane de la courbure de la planète est un énorme problème pour les marins (résolu plus tard par Gérard Mercator). En partant des routes maritimes et du cap suivi par les marins, cette carte parvient à un résultat d’une précision stupéfiante bien avant que Mercator ne trouve la solution : la projection de Mercator.

Je terminerai par ce vieil adage chinois : Le ciel est rond et la terre carrée : les premières cartes de la Chine la représentaient comme un carré, car c’est ainsi que les chinois eux-mêmes décrivaient leur royaume… Si l’adage est évidemment faux, je trouve l’image assez belle.

Timothy Brook, né en 1951 à Toronto, est un historien et sinologue canadien. Il est considéré comme un grand spécialiste de l’histoire mondiale, “connectée”.

Wild – Cheryl Strayed

Wild - Cheryl StrayedJe suis tombé sur ce bouquin par hasard dans la librairie : le livre était orienté face couverture, et le côté randonneur m’a tout de suite attiré. Ce que j’ai lu sur le quatrième de couverture a achevé de me convaincre, et je ne le regrette pas ! Si vous aimez la randonnée pédestre, les treks, alors n’hésitez pas, vous ne serez pas déçus par ce livre.

Et vous ferez la découvert du PCT, le Pacific Crest Trail (soit le Chemin des crêtes du Pacifique en français) : il s’agit d’un sentier de randonnée qui part de la frontière mexicaine jusqu’à la frontière canadienne, et long de 4 200 kms. Sentier mythique, l’auteur du livre n’en fera qu’une partie, mais tout de même 1 700 kms, marchant pendant trois mois.

C’est donc une histoire vraie, racontée bien des années plus tard avec beaucoup de sincérité et de fraîcheur par l’auteur. Cheryl Strayed est alors une jeune femme en plein doute (et même en pleine déroute) : elle vient de perdre sa mère avec qui elle était très proche, puis a divorcé, touché à l’héroïne… Rien ne va plus ! Sur un coup de tête, elle part donc sur le PCT avec un sac à dos beaucoup trop lourd (« Monster »), preuve de son manque d’expérience.

On se laisse vite emporter par ce récit, la nature grandiose, les rencontres qu’elle fait, toutes emplies d’humanité, sauf une, avec deux chasseurs (elle écrit alors une chose très juste : si cela avait mal tourné, une seule rencontre aurait pu annihiler toutes les autres, et transformer cette belle aventure en cauchemar). Pour sa « genèse » aussi (c’est ainsi qu’elle l’appelle), car cette longue marche va lui faire accepter la perte de sa mère, et enfin se trouver elle-même.

Magnifique ! Je l’ai dévoré et j’étais impatient de m’y replonger à la moindre occasion. Il se trouve que j’ai vu le film peu de temps après, sur Netflix : très décevant, on est très loin du roman, comme souvent.

Cheryl Strayed, née en 1968, est une romancière et essayiste américaine. En juin 2012, la présentatrice Oprah Winfrey annonce que « Wild » est sa sélection numéro 1 dans son Oprah’s Book Club 2.0. Le roman a été traduit en plus de trente langues depuis !

Mise à jour de FreshRSS

FreshRSSJ’avais fait un article il y a (déjà) un peu plus de trois ans intitulé FreshRSS et EasyRSS : une bonne combinaison. Il reprenait l’installation du serveur FreshRSS, et de l’application Android EasyRSS.

Hier sur une inspiration j’ai installé la dernière version stable de FreshRSS. À vrai dire, je ne l’utilisais plus beaucoup, même si les flux RSS restent quand même un moyen très efficace pour suivre des sites et être informé.

Mais un point m’avait un peu découragé d’utiliser FreshRSS : à l’époque, je n’avais pas trouvé de moyen pour mettre à jour les flux automatiquement, car mon hébergeur ne me donnait pas accès aux tâches planifiées sur le serveur. Donc quand je voulais aller voir mes flux, il fallait que je commence par les rafraîchir, ce qui était assez fastidieux… C’est là que l’on se rend compte que l’on est exigeant et peu patient quand même ! 😉

Apparemment, c’est maintenant possible par une autre méthode ! Je vais donc un peu résumer tout ça, avec les quelques problèmes rencontrés, ce sera un bon complément au premier article.

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Betteraves rouges lacto-fermentées

C’est ma frangine qui m’a parlé en premier du site ni cru-ni cuit et des betteraves lacto-fermentées… J’avais déjà entendu parler des aliments lacto-fermentés et de leur bienfaits pour la santé chez Biocoop : le tofu étant parfois difficile à digérer, on trouve du tofu lacto-fermenté, plus digeste donc.

L’exemple le plus connu de légume fermenté est le chou de la choucroute : c’est du chou lacto-fermenté ! Et vous remarquerez maintenant son goût particulier… pas désagréable du tout, mais facilement identifiable.

Et il n’y a pas que la digestion qui soit facilitée par ce type d’aliments : il y a en fait plein de bénéfices pour la santé, entre autres ils renforcent notre système immunitaire, sont sources de vitamines (C, K, PP et B), détoxifient la nourriture, etc… Voir cette liste sur la page 10 bonnes raisons de manger des aliments fermentés.

Il ne s’agit pas pour autant d’en manger tous les jours (je crois qu’on se lasserait vite du goût !). Comme le précise Marie-Claire Frédéric :

Les aliments fermentés, il ne faut pas manger que ça ! Ils doivent faire partie d’une alimentation variée et équilibrée. Le mieux est d’en consommer de petites quantités tous les jours ou régulièrement.

J’ai donc acheté ce petit livre très abordable (6,50 €), et me suis lancé aujourd’hui dans la préparation de deux bocaux de 50 cl de betteraves rouges lacto-fermentées, soit la première recette du livre. D’ailleurs, le livre est bien conçu, puisque après chaque recette de fermentation, on trouve plusieurs recettes de plats où sera utilisée cette préparation…

Et si vous n’avez pas le livre, la recette est disponible sur cette page du site. D’ailleurs, merci à Marie-Claire Frédéric de partager ainsi ses connaissances, ses articles sont passionnants, elle est manifestement très compétente sur le sujet. Elle tient également un autre site, du miel et du sel, où l’on peut trouver des recettes plus classiques, comme son gratin de macaronis que je vais sûrement tester un de ces jours…

Mais revenons à la recette…

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Lectures, Ubuntu, Smartphone, Cinéma, entre autres…