C’est le libraire qui m’as mis ce bouquin dans les mains, alors que lui expliquais que je cherchais des histoires qui avaient du sens. Cette fois il ne s’est pas trompé !
L’histoire commence par une scène de guerre localisé à Tripoli, Nord Liban, en 1983 : un tank tire sur un taxi, le passager est blessé par un éclat à la jambe, mais réussit à se mettre à l’abri ; le chauffeur du taxi aura moins de chance.
Le chapitre suivant nous ramène à Paris en 1974, où Georges, le narrateur (qui est aussi le passager du taxi), va …
Ce sont les collègues qui m’ont offert l’année dernière cette liseuse Kobo Aura HD : à l’époque, c’était la liseuse avec la plus haute définition existante, la « Porsche des liseuses » selon Kobo (c’est aussi la plus chère, aux alentours de 180 €). Il est temps de faire un petit retour d’expérience… après 76 heures de lecture comme me l’indique l’écran d’accueil ! 😉
C’est ma première liseuse, je ne prétend donc pas comparer quoique ce soit, simplement partager mes premières impressions sur ce nouveau mode de lecture, ainsi que l’appareil.
C’est Simon Leys dans son studio de l’inutilité qui parlait de cet auteur et de ce livre avec suffisamment d’enthousiasme pour donner envie de le lire. J’hésitais un peu, Henri Michaux étant écrivain mais aussi poète, et je ne savais pas trop à quoi m’attendre…
Ce fût un vrai bonheur à lire, lecture ponctuée parfois d’éclats de rire tant les remarques d’Henri Michaux sont souvent drôles. Il s’agit donc de notes prises durant un voyage en asie qu’il fît en 1931 : la moitié de l’ouvrage est consacrée à l’Inde, un quart à la Chine, pour finir avec le Japon …
C’est en écoutant France Culture que j’ai entendu parler de ce roman (et de cet empereur romain). Réveillé un peu plus tôt que d’habitude (5h du mat’), j’allume la radio : c’était l’émission « Éloge du savoir » (c’est toujours fascinant d’écouter ces professeurs du collège de France discourir sur un sujet qu’ils maîtrisent complètement), en l’occurence une série de treize épisodes sur « L’empereur Hadrien et les cités grecques » (que j’ai podcasté mais pas encore écouté). Et on y mentionnait ce roman de Marguerite Yourcenar sur celui qui fût un empereur humaniste. Peut-être le fameux « philosophe roi …
Troisième (et probablement dernier) roman de cet auteur que je lis : décidément, je ne suis vraiment pas fan de cet auteur ni de son style ; quant à l’histoire ici contée, on en apprend autant en lisant la page wikipedia des frangines Fox.
Alors que dire ? c’est l’histoire des sœurs Fox qui jouèrent un rôle important début XIXe siècle dans la naissance du spiritualisme moderne. Séances de spiritisme, esprits, coups frappés pour répondre aux questions… C’était devenu la mode, et des personnalités comme Victor Hugo s’y sont fait prendre.
Bon, les histoires de spiritisme, ce n’est pas vraiment …
C’est le troisième roman de Leonard Padura que je lis, sans compter « le cycle des quatre saisons » mettant en scène Mario Conde, policier cubain désabusé. Dans celui-ci, l’auteur nous emmène aux origines de l’indépendance de Cuba, par le biais de la poèsie.
Fernando, exilé en Espagne depuis dix-huit ans, revient à Cuba pour trouver un manuscrit autobiographique du grand poète José Maria Heredia, auquel il a consacré sa thèse. Il est aussi revenu pour découvrir qui parmi ses amis l’a trahi et forcé à l’exil.
Car il sera beaucoup question d’exil dans ce roman (et de trahison): …
Après avoir lu Le cœur des ténèbres, et avant de lire d’autres romans de Joseph Conrad, je poursuis la découverte de cet auteur par sa biographie. C’est toujours bien de connaître la vie d’un écrivain, et Michel Renouard le fait très bien, n’hésitant pas à donner du contexte lié à l’époque ou aux personnages rencontrés.
Il nous dresse le portrait d’un homme à l’enfance marquée (exil, orphelin à onze ans), qui après une première vie de marin (pendant vingt ans), s’établit écrivain en Angleterre, pays dont il deviendra citoyen.
Grand travailleur, fumeur invétéré, mari fidèle (austère ?), il mènera …
Livre conseillé par mon libraire, mais qui est resté pas mal de temps sur l’étagère : j’avais peur que cela soit un peu trop difficile à lire. Il n’en fût rien, bien au contraire : c’est manifestement bien traduit, et l’auteur est très clair dans ses explications.
Il en résulte un gros livre certes (près de 700 pages), mais qui se lit facilement, et où l’on a hâte de retourner tant ce que nous explique l’auteur est passionnant.
Le titre original est peut-être plus parlant : « Guns, germs, and steel. The fates of human societies » (1997). Soit « …
Deuxième roman de Houellebecq que je lis (après La carte et le territoire), et qui est son tout premier roman publié, il y a déjà quelques années, c’était en 1994 !
Petit roman de 150 pages en format poche, il ne faut pas trop de temps pour le lire. Le style est fluide, et la lecture aisée, comme sait faire Houellebeq.
C’est l’histoire d’un cadre informaticien de trente ans, complètement désabusé, et manifestement en phase de dépression. Il va nous raconter son histoire, et ce sera plutôt sombre… avec heureusement quelques pointes d’humour ici où là.
Deuxième roman de François Mauriac que je lis, après Le Sagouin. L’histoire se passe toujours au sein de la bourgeoisie catholique bordelaise, et le portrait de cette pharisienne que dresse Mauriac est sans concession.
Mais qu’est-ce qu’une pharisienne ? je n’en savais rien, et wiktionary m’a éclairé : au sens propre, les pharisiens sont une secte du peuple juif qui affectaient de se distinguer par la sainteté extérieure de leur vie.
Par analogie, c’est une personne qui, sûre de soi, juge de haut, avec orgueil et dureté, les actions ou les opinions des autres. C’est précisément le cas de …
Lectures, Ubuntu, Smartphone, Cinéma, entre autres…