C’est une vie dans les déserts, parmi des peuples nomades encore fiers et sauvages, qu’a choisi l’auteur. Il est l’un des derniers grands explorateurs nous dit le quatrième de couverture. Et son récit ne manque pas d’intérêt, que ce soit pour le côté historique, son goût de l’aventure ou pour le mode de vie choisi. J’ai pris un grand plaisir à lire ce livre.
Anglais, il naît en Abyssinie (l’ancien empire d’Éthiopie) où son père représentait le Royaume-Uni, et y passe son enfance. Après des études en Angleterre (Eton, Oxford), il y revient à l’âge de vingt ans pour le …
Ce joli bandeau « Prix Philip K. Dick » m’a donné envie de tester cet auteur que je ne connais pas.
Alors bon, on est loin de Philip K. Dick ! J’ai eu du mal à accrocher à cette histoire, et je me demandais pourquoi : il y a pourtant ce monde dans lequel la ville de Two Rivers est projetée : un monde proche du notre mais ayant évolué différemment, une société en guerre, technologiquement en retard, et avec une hiérarchie religieuse très puissante, chrétienne mais gnostique et polythéiste ! De quoi faire une bonne histoire…
C’est à la radio que j’ai entendu parlé de ce livre. L’auteur était l’invité de « La fabrique de l’histoire » sur France Culture. Je l’ai trouvé passionnant, et cela m’a donné envie de lire son livre, « Le chapeau de Vermeer », qui raconte le début de la mondialisation au XVIIème siècle.
Tout commence par une chute de bicyclette que fait l’auteur à Delft, la ville de Vermeer. Il visite alors la ville, et nous présente le tableau « La vue de Delft » pour évoquer la Compagnie hollandaise des indes orientales (la VOC) qui va jouer un …
Ce livre était mentionné par Bertrand Tavernier dans la postface de La Route de l’Ouest, pour la façon dont l’auteur s’abstient de juger ou de donner des leçons de morale sur les personnages, se bornant à les décrire tels qu’ils pouvaient être à l’époque.
Nous allons donc suivre Walter Grein, chef des éclaireurs, appelé d’urgence à rejoindre un poste avancé, car rien ne va plus dans la réserve Apache : Porfirio, le vieux chef, est parti avec hommes et femmes en direction du Mexique, alors que Toriano, un jeune chef, accompagné de quelques guerriers, sème la terreur chez les …
C’était pendant l’émission littéraire « 21 centimètres » sur Canal qu’un journaliste recommandait ce bouquin : vie incroyable de cet Arsène Lupin des temps moderne, style haletant de l’auteur…
Si j’ai bien aimé le récit lui-même, j’ai été beaucoup moins fan du style de l’auteur, qui casse souvent le fil du récit pour y insérer des remarques personnelles, parfois totalement décorrélées du récit. Dommage, parce que le rythme du récit est parfaitement maîtrisé par ailleurs, très vivant, et on tourne page après page pour découvrir la vie de cet homme hors du commun. Un vrai polar…
Dans la même collection, avec une toujours aussi belle jaquette et un beau papier, c’est cette fois sa propre histoire que Jack Black nous raconte, sorte de gentleman cambrioleur au tournant du XXème siècle. Son récit nous décrit une époque révolue, celle des Hobos (vagabonds) qui erraient dans l’ouest américain, avec leurs règles, …
Encore un livre que j’ai laissé tomber après une cinquantaine de page. Ça fait deux à suivre après celui de Hannah Arendt… Mais cette fois, ce n’est pas parce que je n’y comprenais rien, mais parce que j’ai trouvé le texte assez ennuyeux.
On le trouve pas mal en librairie en ce moment (j’ai vu jusqu’à trois rééditions différentes côte à côte) parce qu’il vient de passer dans le domaine public : les éditeurs s’en donnent à cœur joie, proposant une nouvelle traduction, plus moderne, plus lisible.
Mais je n’ai pas du tout accroché aux élucubrations de l’auteur, qui …
Voilà un livre dont j’ai arrêté la lecture au bout d’une cinquantaine de pages : trop ardu pour moi, pensée trop complexe ! Pourtant le sujet est très intéressant, et j’ai fait des efforts, mais vraiment… Et je ne parle pas des mots en grec non traduits, des citations latines qui le sont parfois mais pas toujours (merci !), etc…
Je pense qu’il faut un solide bagage culturel pour pouvoir suivre la pensée de madame Arendt, et moi je suis largué ! C’est dommage, je suis persuadé que l’on peut expliquer les mêmes concepts sans être aussi hermétique (ou ésotérique). …
Et voilà donc le troisième et dernier roman faisant partie de la série « The Big Sky ». Certainement le plus sombre des trois ! Peut-être parce que Guthrie l’a écrit plus de trente ans après les deux premiers, à l’âge de quatre-vingts ans.
Nous retrouvons Dick Summers à l’endroit où nous l’avions laissé à la fin de La route de l’Ouest, où il avait emmené le convoi de colons, c’est-à-dire dans l’Oregon. Il souhaite désormais retrouver les grands espaces et retrouver la vie qu’il menait auparavant, faite de liberté et de bivouacs sous le ciel étoilé. Il part …
Comme j’avais apprécié La captive aux yeux clairs, il était logique de continuer la trilogie « The Big Sky »… En route donc pour cette deuxième partie.
Si la première mettait en avant les premiers hommes blancs (les trappeurs) à se rendre sur les terres indiennes du Montana, cette fois ce sont les colons qui quittent les terres ingrates du Missouri pour rejoindre l’Oregon. Tous espèrent une vie meilleure dans ce que les rumeurs décrivent comme un paradis sur terre, un territoire encore vierge qui leur tend les bras, avec des rivières, du gibier, des forêts…
Pour servir de …
Lectures, Ubuntu, Smartphone, Cinéma, entre autres…