 Ce roman était bien en évidence sur les tables de la FNAC de Rennes. Après avoir lu quelques paragraphes, je le prenais.
 Ce roman était bien en évidence sur les tables de la FNAC de Rennes. Après avoir lu quelques paragraphes, je le prenais.
Beau et étrange roman qui vous emmènera dans l’univers de ce jeune garçon de quinze ans qui s’enfuit de chez lui pour échapper à une malédiction paternelle. Le rêve et la réalité se confondent, et de chapitre en chapitre, on alterne entre deux histoires, ou plutôt deux visions (naturelle/surnaturelle) de la même histoire.
L’habileté de l’auteur à manier les mots, à vous emmener dans cet univers en fait un roman très prenant. Sur fond d’apprentissage de la vie, d’une certaine forme de sagesse pour comprendre et vivre dans ce monde, d’accomplissement et de découverte de soi, voilà probablement un roman initiatique pour toute une génération. Superbe !
Kafka est accueilli par Oshima, un bibliothéquaire. Grâce à son immense culture, celui-ci pourra répondre à toutes les questions que l’adolescent se pose, jouant le rôle d’un sage et d’un ami. Ainsi lui explique-t-il :
Ce que l’on nomme l’univers du surnaturel n’est autre que les ténèbres de notre propre esprit. Bien avant que Freud ou Jung fassent au XIXè siècle la lumière sur le fonctionnement de l’inconscient, les gens avaient déjà instinctivement établi une corrélation entre l’inconscient et le surnaturel, ces deux mondes obscurs. Ce n’était pas une métaphore. D’ailleurs, si on remonte encore plus loin, ce n’était même pas une corrélation. Jusqu’à ce qu’Edison découvre la lumière électrique, la majeure partie de la planète était plongée dans un noir d’encre. Aucune frontière ne séparait l’obscurité physique, extérieure, de l’obscurité intérieure de l’âme. … Il était sans doute impossible aux gens de l’époque de penser en terme différents ces deux mondes de ténèbres. Aujourd’hui, il en va autrement. Les ténèbres extérieures se sont dissipées, mais les ténèbres intérieures demeurent. Ce que nous appelons ego ou conscience est la partie émergée de l’iceberg : la partie la plus importante reste plongée dans les ténèbres et c’est là que gît la source des contradictions et des confusions profondes qui nous tourmentent.
Haruki Murakami est né à Kyoto en 1949. Après des études de théâtre et de cinéma, il ouvre un club de jazz à Tokyo avant de se consacrer à l’écriture. Pour échapper au conformisme de la société japonaise, il s’expatrie en Grèce et en Italie, puis aux Etats-Unis. En 1995, après le séisme de Kobe et l’attentat de la secte Aum, il rentre au Japon.
 
		 
 Cette fois, c’est en lisant une critique dans le Canard enchaîné que j’ai eu envie de lire ce livre. La critique était excellente, et j’avais gardé ce titre en tête. Je n’ai pas été déçu.
 Cette fois, c’est en lisant une critique dans le Canard enchaîné que j’ai eu envie de lire ce livre. La critique était excellente, et j’avais gardé ce titre en tête. Je n’ai pas été déçu.

 Pour passer le réveillon, nous avions loué avec les amis un gîte dans les Côtes d’Armor. Le 31 décembre au matin, Nathalie, Hubert, Patrice, Philippe et moi sommes partis pour le footing habituel, comme on fait à chaque fois que l’on se retrouve.
 Pour passer le réveillon, nous avions loué avec les amis un gîte dans les Côtes d’Armor. Le 31 décembre au matin, Nathalie, Hubert, Patrice, Philippe et moi sommes partis pour le footing habituel, comme on fait à chaque fois que l’on se retrouve.
 L’autre jour,  en passant chez Virgin, je vois ce bouquin sur une table. « Tiens, je ne le connais pas celui-là… ». Et sur la page arrière (la quatrième de couverture), je lis : « Dans ce roman inédit jusqu’à ce jour, et miraculeusement retrouvé, Philip K. Dick, plus visionaire que jamais, nous livre la radioscopie d’une amérique urbaine suffocante à travers le portrait mental d’un jeune homme au bord de la crise« . Evidemment, je le prend.
 L’autre jour,  en passant chez Virgin, je vois ce bouquin sur une table. « Tiens, je ne le connais pas celui-là… ». Et sur la page arrière (la quatrième de couverture), je lis : « Dans ce roman inédit jusqu’à ce jour, et miraculeusement retrouvé, Philip K. Dick, plus visionaire que jamais, nous livre la radioscopie d’une amérique urbaine suffocante à travers le portrait mental d’un jeune homme au bord de la crise« . Evidemment, je le prend.
 Bernhard Schlink est né en 1944 et vit à Berlin. Professeur de droit, il commença sa carrière littéraire par des romans policiers, avec un personnage principal appelé Selbs, qui vient de « selblst » : « soi-même ». En 1995, il publie Le liseur, roman partiellement biographique. Le roman connaîtra un succès mondial.
 Bernhard Schlink est né en 1944 et vit à Berlin. Professeur de droit, il commença sa carrière littéraire par des romans policiers, avec un personnage principal appelé Selbs, qui vient de « selblst » : « soi-même ». En 1995, il publie Le liseur, roman partiellement biographique. Le roman connaîtra un succès mondial. J’avais un petit problème avec mon Palm : je n’avais réussi à le synchroniser avec l’agenda d’Evolution (le client mail par défaut d’Ubuntu, équivalent Outlook du libre) qu’avec la version Egdy Eft, il y a un an. Et dans la douleur encore !
 J’avais un petit problème avec mon Palm : je n’avais réussi à le synchroniser avec l’agenda d’Evolution (le client mail par défaut d’Ubuntu, équivalent Outlook du libre) qu’avec la version Egdy Eft, il y a un an. Et dans la douleur encore !