Après lui avoir exprimé mon enthousiasme pour la lecture de « L’homme qui aimait les chiens», mon libraire préféré m’a mis dans les mains ce nouveau roman de Leonardo Padura ; quand je lui demandai si c’était aussi bien, il me fit une mimique semblant signifier que c’était encore mieux ! Malgré la faiblesse de l’argumentation, je le prenais.
Alors bon, sans égaler à mon avis le sublime « L’homme qui aimait les chiens», celui-ci va nous appendre des morceaux d’Histoire peu connus, et passionnants. Un petit mot toutefois pour l’éditeur : le bouquin est lourd et le …
Après l’excellent L’homme qui aimait les chiens, j’ai eu envie de lire d’autres romans de cet auteur cubain. Et je suis tombé sur cette série de quatre romans policiers, qui font partie du cycle « Les quatre saisons », chaque histoire se déroulant à une saison de l’année 1989.
Leonardo Padura était journaliste, critique littéraire, scénariste pour le cinéma… puis il décida de se lancer dans l’écriture, et ce seront ses quatre premiers romans. Des romans policiers, où le lieutenant Mario Conde, la quarantaine désabusée, tendance alcoolique, va enquêter dans La Havane.
Je n’aurais jamais du lire ce livre, c’est une erreur ! Et je vous conseille d’en faire autant, à moins d’être un ado (pas forcément attardé) ! 🙂
Comment ce livre m’est-il arrivé entre les mains ? Eh bien, je dois remercier les amis, qui cette fois se sont bien plantés : tous les ans au réveillon, nous sommes deux ou trois à avoir droit à un cadeau, parce notre anniversaire est très proche (le 02 janvier dans mon cas)… très belle attention de leur part, n’est-ce pas ?
Sauf que… dans la réalité, l’organisation pêche un peu : « …
C’est à la radio que j’ai entendu parler de ce livre : Elisabeth Barillé était l’invitée de l’émission « Les racines du ciel » sur France Culture, pour y parler de Lou Andréas Salomé, et de son livre « Lou Andreas Salomé : L’école de la vie ».
À la fin de l’émission, on lui demande si elle a un livre à recommander, et c’est ce livre qu’elle mentionne : « pour moi un des plus beaux livres jamais écrit depuis ces vingt dernières années… récit de voyage sur la quête du nord… en l’occurrence, quand on est russe, …
Ce n’est pas le premier bouquin de Thompson que je lis, et pourtant c’est par celui-là qu’il vaut mieux commencer (en tout cas pour lire les « Gonzo papers ») : quoi de mieux qu’une biographie pour découvrir une personnalité ? surtout aussi complexe que celle-ci.
Car ce n’est pas facile de faire la part de vérité entre la légende, le personnage réel, et ses provocations. Lui-même s’y fera prendre d’ailleurs… à son corps défendant.
Il voulait devenir un grand écrivain américain (il tapait à la machine à écrire des œuvres comme ‘Gatsby le magnifique’ pour « apprendre »), mais …
Conseillé par la libraire (« un bon délire »), prix du meilleur roman des lecteurs de Points 2014, je me suis dit que ce roman serait agréable à lire, sans prise de tête.
D’autant que le pitch a l’air marrant, puisque le héros a cette incroyable faculté de boire de la vodka comme un trou sans jamais être saoul… Une sorte de super-héros quoi ! 😉
Malgré un début prometteur où Saul Karoo, c’est son nom, présente une vision très cynique de sa vie et du monde qui l’entoure, mon optimisme fut vite douché : il se révèle très vite …
Retour à Philip K. Dick avec ce petit recueil de nouvelles acheté principalement pour une en particulier : Rajustement (titre original : Adjustment Team), parue en 1954, soit au tout début de la carrière de Philip K. Dick.
Cette nouvelle a également fait l’objet d’un film : L’Agence (titre original : The Adjustment Bureau), sorti en 2011, plus de cinquante ans après.
L’idée maîtresse est bien sûr la même entre la nouvelle et le film : la réalité de nos existences quotidiennes est contrôlée par disons « une organisation », et comme telle susceptible d’être corrigée en cas …
La guerre d’Espagne est un sujet passionnant, faisant partie de l’histoire récente, et dont il y a beaucoup à apprendre. Quand un écrivain comme George Orwell décide de faire le compte-rendu de sa propre expérience, ça vaut le coup de le lire.
Il va essentiellement nous raconter son expérience personnelle, assez brève en fait (environ 6 mois à partir de fin 1936) ; il en résulte une description surprenante de ce que peut être une guerre de position, coincé dans sa tranchée, mal ou pas armé (!), à souffrir plus de la faim et du froid que d’autre chose. D’autant …
Retour à Patrick Deville et à ses romans mêlant histoire et voyage. Cette fois, nous partons en Afrique centrale, et le fil rouge sera cette fois Pierre Savorgnan de Brazza, explorateur français d’origine italienne, dont la capitale de la République du Congo tirera son nom : Brazzaville.
Globalement, même remarque que pour Pura Vida (qui nous emmenait en Amérique centrale) : un peu trop fouillis, trop de personnages et de lieux que l’on ne connaît pas, et l’on s’y perd un peu. Une simple carte de l’Afrique localisant les lieux, les fleuves, les villes mentionnées en début d’ouvrage n’aurait …
Deuxième roman que je lis de cet auteur, après Palestine, qui ne m’avait pas particulièrement plu, notamment le style employé par l’auteur.
Il en est un peu de même pour celui-ci, même si sa lecture a tout de même été plus plaisante : l’auteur ne s’envole pas dans de grandes phrases poétiques, et reste plus concret, ce que je préfère de beaucoup.
Mais bon, l’histoire est quand même un peu simpliste, avec ce gamin afghan paumé à Paris (on le serait à moins !) après avoir subi la guerre en Afghanistan, perdu sa famille, et même obligé de tuer …
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