Après la déception de La marche du mort de Larry McMurtry, j’ai vu ce bouquin sur la table du libraire, qui est la premier d’une série de trois, appelée The Big Sky (qui est aussi le titre original de ce roman). Mais comme Lonesome Dove m’avait tout de même donné goût à la littérature sur l’époque « Western », je me suis laissé tenté.
Et ce fût une bonne surprise. Nous allons suivre les aventures de deux jeunes hommes, Boone Caudill et Jim Deakins, qui quittent leur Kentucky natal pour échapper à l’ennui et à une dure vie de …
Il était temps que je lise cette fable de George Orwell, dont Simon Leys dit que c’est son chef-d’œuvre ! J’avais un peu peur de m’ennuyer à la lire, mais non, pas du tout, cette allégorie du communisme est magnifiquement racontée, et l’on prend un plaisir certain à la lire.
Une fois l’homme chassé de la ferme, les grand principes d’égalité annoncés et les lendemains radieux promis… arrive ce qui doit arriver : la prise de pouvoir et le début des privilèges pour une certaine classe, ici les cochons (les animaux les plus proches de l’homme ?).
C’est ma frangine qui m’a offert ce bouquin : elle habite Chamonix, alors forcément cette terrible histoire l’a passionnée, et elle a voulu me faire connaître ce qui reste une véritable tragédie.
Nous sommes en 1956 : deux jeunes alpinistes (Vincendon, un parisien, et Henry, un belge) partent pour une course hivernale sur le Mont Blanc ; ils vont se retrouver coincés à 4000 mètres d’altitude, par -30°C, pendant plus de dix jours, leur calvaire étant suivi à la jumelle depuis Chamonix. Un hélicoptère qui tentera de se poser pour les secourir va s’écraser à leurs côtés… Il y a …
J’avais bien aimé le film, American Pastoral, alors je me suis offert le bouquin, afin d’approfondir l’histoire d’abord, et ensuite pour découvrir l’écrivain Philip Roth dont je n’avais rien lu jusqu’à présent.
Je n’ai été déçu par aucun de ces deux points ! À propos de l’auteur, c’est vraiment très bien écrit, les phrases sont bien construites, le style est là, et les idées abordées traitées avec beaucoup de profondeur. On ne s’ennuie pas une seconde, et on sent la patte d’un grand !
Le sujet traité, c’est la fin du rêve américain, dans les années 60/70, en plein …
Énorme déception que cette « suite » de Lonesome Dove que j’attendais en format poche depuis plus d’un an ! Ce n’est pas vraiment une suite à proprement parler, mais plutôt un retour aux origines de nos deux héros, Augustus McCrae et Woodwrow Call, quand encore jeunes ils s’engagent chez les Texas Rangers.
Hélas, si dans Lonesome Dove, malgré un début poussif, on se laissait vite emporter par le souffle des grands espaces, la nature sauvage, pleine de dangers, bref la rude vie des cow-boys du Grand Ouest… autant ici on s’ennuie ferme et on attend désespérément que l’histoire commence …
Ce n’est pas pour ce roman que Bob Dylan a reçu le prix Nobel de littérature, comme pourrait le laisser penser le bandeau que l’éditeur s’est empressé de rajouter ! Paru en 2004, le style est assez direct et concis, le célèbre compositeur-interprète, de son vrai nom Robert Zimmerman, nous raconte ses souvenirs, passant parfois de l’un à l’autre au gré des associations d’idées, glissant parfois un peu de poésie dans ses textes, et terminant par une ellipse à la même époque qu’au premier chapitre, nous laissant un peu sur notre faim…
C’est parfois un peu frustrant, d’autant qu’il s’agit …
J’aime bien les romans de voyage en général, et cette collection PBP/Voyageurs en particulier, très agréable à lire et à tenir en main.
Et pour ce voyage, la plume d’une historienne sera nécessaire, puisqu’il s’agit du voyage au Pérou que firent, au XVIIIème siècle, trois personnalités de l’Académie royale des sciences de Paris : Godin, Bouguer et La Condamine. L’idée était d’aller y mesurer l’arc d’un méridien terrestre, afin de confirmer que la terre était ronde. Ils étaient accompagnés de plusieurs aides (techniciens, horlogers, ingénieurs) dont Joseph de Jussieu, médecin et naturaliste, personnage que j’ai trouvé le plus attachant du …
J’avais du lire ce roman à l’école, mais sans en garder le moindre souvenir. Vu le titre, je me suis dit que cela valait peut-être la peine de le relire.
Ce qui frappe d’entrée, c’est la difficulté de lecture : la construction des phrases est assez complexe, il faut parfois les relire pour comprendre ce que Malraux a voulu signifier. Je me suis dit que ça ne devait pas être facile à lire quand on est adolescent, l’Éducation nationale fait de drôles de choix !
Sinon, l’histoire en elle-même et la période historique m’ont plu : nous sommes en Chine, …
J’avais lu déjà lu et apprécié La mort du roi Tsongor du même auteur, aussi quand le libraire m’a proposé celui-ci, je l’ai pris.
Pour celui-ci, quand j’ai compris qu’il s’agissait d’une descente aux Enfers pour un père qui veut donner sa vie pour sauver celle de son fils mort, j’ai eu quelques réticences : je ne suis pas fan de ce genre d’histoire, loin très loin ne serait-ce que d’un rapport lointain avec une potentielle réalité. Disons que l’on revisite un mythe…
Mais je dois dire que j’ai tout de même lu l’histoire avec intérêt : d’abord c’est bien …
George Orwell est un personnage qui vaut le détour, de part ses écrits et ses actes, jamais en décalage l’un par rapport à l’autre, mais aussi pour sa lucidité, « sa capacité à saisir dans quel monde nous vivons » et à le transcrire dans un langage intelligible. Alors quand quelqu’un comme Simon Leys, autre grand personnage, produit un petit essai sur le premier (à peine une centaine de pages), cela vaut certainement le coup de le lire.
Il s’agit d’un réédition, la première datant de 1984 (allez savoir pourquoi !) était épuisée. L’occasion d’ajouter quelques notes et une troisième …
Lectures, Ubuntu, Smartphone, Cinéma, entre autres…