En passant chez le libraire l’autre jour, j’ai vu ce bouquin, l’épisode final de Lonesome Dove, comme indiqué sur la couverture. Je l’ai pris immédiatement, en espérant que cela soit un bon cru. Car si j’avais bien aimé Lune Comanche, qui retrace les débuts des deux Texas Rangers de Lonesome Dove, j’avais été très déçu par La marche du mort.
Pour ce dernier opus, je suis un peu mitigé : ni bon ni mauvais, surtout très lent et avec une histoire assez faible finalement. C’est un peu la dernière mission de Woodrow Call, la mission de trop …
J’ai récemment installé une nouvelle application de recettes de cuisine, j’ai nommé Anymeal, celle que j’utilisais auparavant (Gourmand, un fork de Gourmet en Python 3) ne démarrant plus sur Debian 13, et le projet semblant plus ou moins abandonné.
Anymeal est présent dans les dépôts Debian, et s’installe donc très facilement. Il est de plus maintenu, puisque j’ai été en contact avec le dev lorsque j’ai remarqué que le dash de Gnome (la barre du Dock en bas de l’écran) n’affichait pas l’icône de l’application, alors que l’icône apparaissait bien quand on lançait l’application :
J’avais déjà lu des articles de Ploum sur le net, il était assez impliqué dans Ubuntu il y a déjà quelques années. J’ai vu ensuite qu’il avait publié un livre, mais je ne m’y étais pas intéressé plus que ça.
Puis j’ai vu une conference video qui m’a bien plu, tant dans le ton que sur le fond, le personnage ne manquant par ailleurs pas d’humour. Et c’est comme ça que j’ai commandé son bouquin, via mon libraire qui m’avouait n’avoir jamais commandé à cette maison d’édition (PVH) !
J’aime bien la SF, et je suis très bien rentré dans …
Il y soulève d’ailleurs plusieurs points intéressants à propos de l’usage de Spotify : d’abord l’absence de certains artistes, ou de leur disparition soudaine pour d’obscures raisons contractuelles, en d’autres termes l’absence de contrôle sur la musique que l’on souhaite écouter. Mais aussi un autre point très intéressant : utilisateur des « Daily Mix » (des playlists générées chaque jour …
J’ai eu envie de m’attaquer à ce monument de la littérature, dans la traduction d’Armel Guerne plutôt que celle de Jean Giono, qui avait eu bien du mal à réaliser cette tâche, et avait du demander l’aide de deux autres traducteurs. Après lecture, je comprends mieux pourquoi.
Autant le dire tout de suite, j’ai été très déçu et les presque 1000 pages du roman m’ont parues bien longues (voire ennuyeuses) au point sur la fin d’en lire certaines en diagonale quand je voyais le style s’enflammer. Je m’explique.
Melville est également un poète, et cela se ressent dans son écriture …
C’est en parcourant le flux RSS de la page This week in GNOME que j’ai vu cette application, bien pratique pour régler la luminosité de ou des écrans en évitant d’avoir à naviguer à travers l’OSD et ses boutons démoniaques… 👿
De plus, l’application se trouvant dans la section « Third Party projects » de la page, elle est fournie au format .deb. J’y serai désormais plus attentif, car dans la section « Gnome Circle Apps and library », si on y trouve des petits programmes sympas, ceux-là sont tous au format Flatpak, un format que j’essaie d’éviter.…
Voilà donc la suite de Fils de dragon. On retrouve essentiellement Lao San, le troisième fils de Ling Tan, et son éternelle promise la belle Mayli. Si l’histoire entre ces deux-là est le fil conducteur du récit, mais offre finalement peu d’intérêt, le moment historique choisi est lui intéressant, tout comme la façon dont les chinois perçoivent les occidentaux.
Lao San est devenu Cheng, un valeureux capitaine de l’armée chinoise, et fait partie d’un contingent envoyé en Birmanie pour soutenir les anglais (le peuple des Ying) alors en très mauvaise situation face aux japonais. La Chine veut ainsi montrer …
Je m’étais fait une liste de romans de Pearl Buck à lire, et celui-ci devait être le dernier. Mais il se termine par un magnifique « À SUIVRE » qui va m’obliger à ajouter un livre à ma liste… D’autant que c’est un bon cru, décrivant un moment de la grande Histoire (la seconde guerre sino-japonaise), toujours raconté très simplement par l’auteur, mais où beaucoup de choses sont dites, et certaines particulièrement dures.
Nous allons suivre comme souvent une famille de paysans, celle du patriarche Ling Tan, personnage central du roman. Il cultive sa terre non loin de la ville …
J’utilise KeepassXC pour gérer mes mots de passe, couplé avec KeepassDX sur le smartphone. Les deux applications ouvrent le même fichier, sur mon serveur Nextcloud. Tout va pour le mieux dans le meilleur du monde libre des mondes.
Sauf que sur le PC, et donc sous Gnome Wayland en ce qui me concerne, la fenêtre de l’application ne s’affichait pas correctement : aucune bordure, et la barre de titre ne respectait pas le style de Gnome.
Cela faisait un bout de temps que je traînais ce problème, je croyais que c’était un bug de KeepassXC avec ma version récente de …
Pearl Buck toujours, je m’étais fait une petite liste de romans à lire, voici l’avant-dernier. L’idée c’était de passer à d’autres romans, quitter la vie de paysans chinois d’avant Mao pour aller vers des romans parlant de la révolution communiste.
Et celui-ci est assez intéressant, qui aborde plutôt le conflit chino-japonais d’ailleurs, avec Tchang Kaï-chek et son armée nationale d’un côté, et les révolutionnaires communistes de l’autre.
I-wan est le fils d’un riche banquier à Shanghai, et se lie à En-lan, un jeune étudiant, leader charismatique d’un mouvement clandestin, révolutionnaire et communiste. Ils militent activement ensemble et préparent l’arrivée de …
Lectures, Ubuntu, Smartphone, Cinéma, entre autres…