Toujours occupé à trier les photos de vacances, je tombe sur celle-ci dont j’aurai bien voulu supprimer le fil électrique :
Après quelques recherches sur internet, je trouve pas mal de tutoriels expliquant comment faire à l’aide de l’outil de clonage, en choisissant une brosse fuzzy (à bord doux) : le principe est de sélectionner une zone proche, puis de « tamponner » le fil électrique : mais le résultat est peu probant : sur un fond de ciel bleu comme celui-ci, légèrement dégradé, la trace se voit nettement. Il faudrait sans doute y passer des heures pour avoir un résultat probant.
Resynthetizer
Et puis je tombe sur un article parlant du plugin Resynthetizer : il supprime un objet encadré par l’outil de sélection et reconstitue le fond en se basant sur ce qui entoure l’objet. On peut ainsi facilement faire disparaître un poteau, une personne, et bien sûr un fil électrique.
Il faut d’abord installer ce plugin, par exemple en tapant dans une fenêtre de terminal :
sudo aptitude install gimp-resynthesizer
Ou en passant par la Logithèque Ubuntu : pour ce faire, il suffit de taper « apt://gimp-resynthesizer » dans la barre d’adresse de votre navigateur, une fenêtre s’ouvre :

Et vous permet d’installer le plugin en quelques minutes.
Utilisation
Ensuite, avec l’outil de sélection à main levée de Gimp (le « lasso »), je sélectionne la zone à supprimer :

Puis menu Filtre – Amélioration – Smart Remove selection :

Et le résultat est vraiment pas mal : si on sait qu’il y avait un fil, on peut distinguer quelques traces, mais sans un examen attentif, on ne voit rien :
Source : cet article qui fournit un bel exemple de suppression d’un poteau et de deux personnes sur une piste de ski, en utilisant un calque.




Et encore un roman policier, islandais cette fois. La première enquête de l’inspecteur Erlendur traduite en français, et grâce à laquelle l’écrivain Arnaldur reçu plusieurs prix.





Apparemment, ce roman n’est disponible qu’en édition bilingue (cette édition comme celle de Folio), alors il faudra prendre l’habitude au tournant de chaque page, de rester sur celle de droite. On s’y fait vite, et on a le sentiment d’avancer à grands pas !
Un autre roman policier, conseillé par José, un collègue. Et le conseil était bon : très bonne histoire, sans fusillade ni cadavre, dans l’Amérique des années 1950, avec une vision sociale assez désabusée bien loin du rêve américain, et un magnifique portrait de femme.
Pendant les vacances, j’ai lu quelques polars, et le premier fût celui-ci, conseillé par Jean-Jacques. L’histoire se passe au Tibet, dans un camp de travail chinois, où les moines emprisonnés cassent des cailloux pour faire des routes.

