Une photo sans fil avec Gimp

Toujours occupé à trier les photos de vacances, je tombe sur celle-ci dont j’aurai bien voulu supprimer le fil électrique :

avant transformation

Après quelques recherches sur internet, je trouve pas mal de tutoriels expliquant comment faire à l’aide de l’outil de clonage, en choisissant une brosse fuzzy (à bord doux) : le principe est de sélectionner une zone proche, puis de « tamponner » le fil électrique : mais le résultat est peu probant : sur un fond de ciel bleu comme celui-ci, légèrement dégradé, la trace se voit nettement. Il faudrait sans doute y passer des heures pour avoir un résultat probant.

Resynthetizer

Et puis je tombe sur un article parlant du plugin Resynthetizer : il supprime un objet encadré par l’outil de sélection et reconstitue le fond en se basant sur ce qui entoure l’objet. On peut ainsi facilement faire disparaître un poteau, une personne, et bien sûr un fil électrique.

Il faut d’abord installer ce plugin, par exemple en tapant dans une fenêtre de terminal :

 sudo aptitude install gimp-resynthesizer 

Ou en passant par la Logithèque Ubuntu : pour ce faire, il suffit de taper « apt://gimp-resynthesizer » dans la barre d’adresse de votre navigateur, une fenêtre s’ouvre :

lancement logitheque

Et vous permet d’installer le plugin en quelques minutes.

logitheque ubuntu

Utilisation

Ensuite, avec l’outil de sélection à main levée de Gimp (le « lasso »), je sélectionne la zone à supprimer :

sélection de la zone

Puis menu Filtre – Amélioration – Smart Remove selection :

Depuis Gimp 2.8, il faut sélectionner Filtre – Amélioration – Heal Selection

le plugin Resynthetizer en action

Et le résultat est vraiment pas mal : si on sait qu’il y avait un fil, on peut distinguer quelques traces, mais sans un examen attentif, on ne voit rien :

après transformation

Source : cet article qui fournit un bel exemple de suppression d’un poteau et de deux personnes sur une piste de ski, en utilisant un calque.

Iliz-Koz

Accéder à l'album Vacances en Bretagne au mois de septembre dernier, et donc quelques albums à venir. Je retourne où je m’étais arrêté il y a deux ans, soit Brignogan, en plein pays Pagan, au cœur du Léon…

Première ballade à Iliz-Koz, nécropole médiévale ensevelie sous les sables pendant le petit âge glaciaire, vers le XVIème siècle. Le site ne manque pas de charme, et le gardien est prêt à tout vous raconter.

Pas très loin, il y a la chapelle St-Michel, très belle au milieu de son carré d’herbe verte. Tout cela se trouvant au nord de Plouguerneau, juste à côté de l’Aber Wrac’h.

La cité des jarres – Arnaldur Indridason

La cité des jarres - Arnaldur Indridason Et encore un roman policier, islandais cette fois. La première enquête de l’inspecteur Erlendur traduite en français, et grâce à laquelle l’écrivain Arnaldur reçu plusieurs prix.

L’intrigue est bien ficelée, et commence par un meurtre comme il se doit. Erlendur, la cinquantaine, en a vu d’autres. Divorcé depuis longtemps, il vit seul et s’inquiète pour sa fille, qui passe parfois le voir, mais vit en marge de la société. Et puis il y a cette douleur dans la poitrine qu’il ressent, et comme il fume clope sur clope, il s’interroge sans pour autant consulter.

Mais tout va s’arranger : Erlendur va remarquablement élucider l’enquête (orientée génétique), sa fille reprendra le droit chemin (il apprendra même qu’il va être grand-père), et la douleur dans la poitrine trouvera son origine dans le très mauvais matelas où il passe quelques unes de ses nuits (sinon, il dort dans le fauteuil tout habillé).

Espérons que lui aussi retrouve le droit chemin, arrête de manger de la « junk-food », réduise sa consommation de cigarettes, et prenne un peu plus soin de lui et de sa fille ! Bref, qu’il bosse moins… de toutes façons, le type était mort depuis la première page et ne valait pas tripette.

Arnaldur Indridason, est né en 1961 à Reykjavik (Islande). Diplomé en histoire, il a été journaliste et critique de cinéma, avant se mettre à écrire des romans policiers.

Catastrophes naturelles en Bretagne

Iliz Koz sera recouvert de sable au petit âge glaciaire C’est sur le site d’Iliz Koz (près de Plouguerneau – Finistère Nord) que j’ai vu cette liste, assez impressionnante, des catastrophes naturelles ayant eu lieu en Bretagne au cours des siècles.

Aux XVI, XVII et première moitié du XVIIIème siècles, l’Europe occidentale a vécu un refroidissement général appelé «le petit âge glaciaire». A tel point que tout le littoral fut ensablé, et que les habitants durent reculer à l’intérieur des terres. A Iliz Koz, c’est une nécropole médiévale qui a été ainsi découverte dans les années 1960 lorsque le propriétaire voulut y construire une maison.

Sur l’île de Batz, on peut voir une église ensablée : il s’agit du même phénomène météorologique.

Bref, voilà la liste en question :

  • 451 à 453 – Période de sécheresse dévastant la Bretagne du diocèse de Vannes coïncidant, en 456 avec une période de fortes pluies, ce qui fait considérer Saint Paterne comme remède contre la sécheresse.
  • 570 – Sur l’ouest, les pluies furent si importantes que les rivières débordèrent et causèrent les plus terribles ravages.
  • 709 – Le plateau continental bascule et la mer envahit la forêt de Scissy près de Saint-Malo. La pointe du Finistère s’écorne. La presqu’île du Four et du Chateau deviennent île. Plusieurs milliers de personnes disparaissent dans les eaux.
  • 763 – Le gel commence le 1” octobre et ne s’arrêtera que fin février.
  • 800 – Pluies diluviennes de l’automne 800 au printemps 801.
  • 872 – La neige couvre la Bretagne du 1er décembre au 21 mars 873.
  • 1030 – Des pluies diluviennes s’abattent sur la Bretagne jusqu’en 1033. Ni le blé, ni les fruits n’arrivèrent à maturité. Tout pourrissait. La famine était si importante et la mortalité si grande, que les vivants suffisaient à peine pour enterrer les morts. Mais, en 1033, la récolte de blé fut prodigieuse et surpassa de cinq fois une récolte normale.
  • 1114 – Terrible sécheresse en Bretagne.
  • 1115 – L’hiver fut si froid que la mer gela sur les côtes et dans la rade de Brest.
  • 1118 – Un grand tremblement de terre fit s’écrouler les édifices et coucha des forêts entières, comme celle de Vertou près de Nantes.
  • 1126 – L’híver ne s’arrêtera que fin mai. L’été fut si pluvieux que toutes les récoltes furent détruites. La famine et la peste firent de grands ravages.
  • 1172 – Raz-de-marée sans précédent. L’océan couvre la partie occidentale de l’évêché de Saint-Pol-de Léon. A Landerneau et à Morlaix, près de 1000 personnes sont emportées par les eaux.
  • 1175 à 1177 – Les intempéries furent telles que la disette s’installa pendant trois années.
  • 1205 à 1206 – Le froid fut si grand que de nombreux animaux périrent gelés.
  • 1253 – Durant l’hiver très rigoureux, les vignes périrent dans toute la Bretagne excepté celles de Nantes.
  • 1284 – Un ouragan bouleverse les forêts et détruit de très nombreuses habitations.
  • 1286 – Un tremblement de terre dura 40 jours. Les secousses se succédèrent nuit et jour, causant de très grands désastres.
  • 1386 – Le 5 novembre, tremblement de terre à Nantes.
  • 1387 – Le 28 mai, tremblement de terre d’une violence inouïe.
  • 1407 – L’hiver fut si froid que tous les arbres fruitiers éclatèrent.
  • 1528 à 1529 – Les intempéries provoquent une grande disette. La misère et les maladies décimèrent la population.
  • 1536 – La sécheresse sévit en Bretagne du printemps jusqu’en décembre.
  • 1540 – L’été commença en février et ne se termina qu’en octobre. En juin, la moisson battait son plein. En juillet on mangeait des raisins. En septembre, les vendanges étaient terminées.
  • 1608 – Hiver très rigoureux en Bretagne.
  • 1651 – De nombreuses chutes de grêle endommagent sérieusement les cultures, principalement dans la region de Rennes Epiniac et Piré/Sèche.
  • 1656 – Hiver très froid. Les cultures sont détruites en partie. Les maladies et un début de disette décíment la population.
  • 1666 – A la suite de l’arasement des talus, le sable de mer, poussé par une violente tempête, envahit à jamais, au cours d’une nuit, l’intérieur des terres et couvre d’une couche de 20 pieds, le sol des campagnes fertíles s’étendant de Saint-Pol-de-Léon à Brignogan.
  • 1703 – Le 26 novembre, un ouragan s’abat sur l’ouest de la Bretagne, puis sur le sud de l’Angleterre avec des vents de l’ordre de 180 à 190 Km/h. De nombreux dégâts sont occasionnés en mer et sur terre. Cet ouragan fait plus de 8000 victimes.
  • 1718 – Les 15 et 16 avril, de très violents orages se declenchent sur le Finistère. La foudre endommage de nombreux clochers en particulier dans la région de Saint-Pol-de-Léon.

Reconnaissance optique de caractères

Commençant à trier les photos de vacances, je tombe sur la première, prise sur le site d’Iliz Koz (« la vieille église » en breton) : celle d’un panneau listant les catastrophes naturelles en Bretagne depuis des siècles. Et il y en a eu : pluies diluviennes, tremblements de terre, sécheresse (si si !), la mer qui gèle ou pire qui recouvre les terres, ou encore l’été qui commence en février. Cette dernière est-elle vraiment une catastrophe d’ailleurs ?

Pourquoi ne pas en faire un article sur le blog me dis-je ? et plutôt que tout taper à la main, essayer une reconnaissance optique de caractères (ROC ou OCR en anglais) à partir de la photo… N’ayant jamais eu à faire cela, je pars donc de la page consacrée à ce sujet sur la documentation française d’Ubuntu, très bien faite comme toujours. Les premiers logiciels indiqués sont logiquement ceux de scan.

Janvier 2023 :
Depuis ce premier essai, de l’eau a coulé sous les ponts !
Voir cet article pour une meilleure expérience de la reconnaissance de caractère ! 😎

Logiciel de scan

En partant directement de ma photo, et en utilisant scan2pdf, le résultat n’est pas fameux. D’accord, mon image non plus… Après un peu de transformation de celle-ci avec Gimp (passage en noir et blanc, puis abaissement du seuil), j’obtiens quelque chose de beaucoup plus lisible. Cela va-t-il marcher ? seconde tentative toujours avec gscan2pdf, mais le résultat toujours aussi mauvais :

Solution Web

Vu le résultat avec les logiciels de scan (j’aurai pu en tester d’autres, comme toujours sous Linux, il y a pléthore), je préfère alors m’orienter alors vers une solution web, Free OCR en l’occurence. Vous pouvez lire cet article qui liste six solutions orientées web. Cette fois le résultat est tout à fait correct, même s’il y a quelques corrections à apporter :

résultat avec Free OCR

Voilà, le prochain article, ce sera donc les catastrophes naturelles en Bretagne au cours des siècles !

Un héros de notre temps – Lermontov

Un héros de notre temps - Lermontov Apparemment, ce roman n’est disponible qu’en édition bilingue (cette édition comme celle de Folio), alors il faudra prendre l’habitude au tournant de chaque page, de rester sur celle de droite. On s’y fait vite, et on a le sentiment d’avancer à grands pas !

Lermontov, surnommé « le poète du Caucase » nous livre ici son seul roman. Il faut dire qu’il mourra jeune (26 ans), au cours d’un duel, tout comme Pouchkine dont il était un fervent admirateur. C’est d’ailleurs suite à la mort de ce dernier qu’il publie un poème (« La mort du poète ») adressé au tsar Nicolas 1er : celui-ci le trouvera trop impertinent, et Lermontov sera envoyé dans le Caucase comme officier des dragons…

« Un héros de notre temps » est magnifiquement écrit, dans un style très fluide, et j’ai éprouvé un réel plaisir à le lire. Le personnage central, Petchorine, est un homme cynique, indifférent aux autres, méprisant le bonheur comme la mort. Malgré tout, il n’est pas antipathique pour autant, car d’une lucidité terrible envers lui-même comme envers les autres.

Voici ce que dit Lermontov dans la préface :

Le héros de notre temps, chers messieurs, est en effet un portrait, mais pas celui d’un seul homme : c’est un portrait composé des vices de toute notre génération, dans leur plein épanouissement. Vous me direz encore une fois que l’homme de peut être aussi mauvais, mais je vous demanderai, si vous avez cru à la vraisemblance de tous les scélérats tragiques et romantiques, pourquoi vous ne croyez pas à la réalité de Petchorine. Si vous avez admiré des inventions bien plus terribles et plus monstrueuses, pourquoi ce caractère, même en tant que fiction, ne trouve-t-il pas grâce à vos yeux ? Ne serait-ce as qu’il y a en lui plus de vérité que vous ne le souhaiteriez ?…
Vous direz que la morale n’y gagne rien… Pardonnez-moi. On a assez nourri les gens de douceurs ; ils en ont eu l’estomac gâté : il faut des remèdes amers, des vérités mordantes. Mais n’allez pas croire cependant, après cela, que l’auteur de ce livre ait jamais eu le rêve orgueilleux de se faire le correcteur des vices humains. Dieu le garde d’une pareille naïveté ! Il s’est simplement amusé à peindre l’homme contemporain, tel qu’il le comprend et, pour son malheur et pour le vôtre, tel qu’il l’a trop souvent rencontré. Que la maladie soit désignée, c’est bien assez ; quant au moyen de la soigner, Dieu seul le connaît !

Que dire de plus ? lisez ce livre, et regardez nos contemporains : la situation ne s’est pas améliorée me semble-t-il…

Mikhaïl Lermontov (1814-1841), a eu une vie courte et mouvementée, alternant actes de bravoure et blagues de potache. Il meurt au cours d’un duel, dans des conditions très similaires à celle du duel auquel participe Petchorine dans ce roman (mais Petchorine gagne le duel). Sa mort aurait été commentée en ces termes par le Tsar: « Une mort de chien pour un chien. »

Sylvia – Howard Fast

Sylvia - Howard Fast Un autre roman policier, conseillé par José, un collègue. Et le conseil était bon : très bonne histoire, sans fusillade ni cadavre, dans l’Amérique des années 1950, avec une vision sociale assez désabusée bien loin du rêve américain, et un magnifique portrait de femme.

Alan Macklin (mais tout le monde l’appelle Mac) est un détective privé plutôt fauché, titulaire d’une licence d’Histoire ancienne, féru de littérature, et plutôt amer sur la vie en général. Un milliardaire lui propose d’enquêter sur la femme avec qui il projette de se marier, histoire de vérifier son passé. Mais attention, défense absolue de la rencontrer pour lui poser des questions : elle très intelligente et découvrirait très vite le pot aux roses.

Mac va donc enquêter sur cette Sylvia : il réussira à remonter le fil de sa vie, et découvrir qu’elle n’est pas la riche héritière qu’elle prétend être. Sylvia a du au contraire lutter pour s’en sortir, issue de la plus ultime pauvreté, père alcoolique, etc… Boulimique de connaissance, elle lit tout ce qui lui tombe entre les mains, apprend les langues au fil de ses rencontres… Sa volonté de s’en sortir n’a d’égal que son souci de dissimuler son passé. Très vite, Mac va en tomber éperdument amoureux, sans même la connaître, tant sa vie à elle le renvoie à la sienne.

Howard Fast (1914-2003), écrivain américain, publia ce livre en 1960 en utilisant pour la première fois le pseudonyme de E.-V. Cunningham : c’était l’habitude à l’époque, pour dissocier les écrits dits sérieux de ce genre de roman. Rien à voir donc avec le fait qu’il ait été au Parti Communiste Américain et sur la liste noire du cinéma du maccarthysme. Sylvia a fait l’objet d’un film de Gordon Douglas en 1965.

Dans la gorge du dragon – Eliot Pattison

Dans la gorge du dragon - Eliot Pattison Pendant les vacances, j’ai lu quelques polars, et le premier fût celui-ci, conseillé par Jean-Jacques. L’histoire se passe au Tibet, dans un camp de travail chinois, où les moines emprisonnés cassent des cailloux pour faire des routes.

Mais c’est un chinois qui mène l’enquête : Shan Tao Yun, pourtant lui aussi emprisonné, ayant eu le malheur lors d’une enquête à Pékin de mettre en cause en membre du Parti. Mais comme il est très fort, le patron du camp fait appel à lui.

Avec raison, car pour comprendre ce qui se passe avec les moines tibétains, ça ne va pas être facile : les mobiles de leurs actions ne répondent pas plus aux critères chinois qu’européens. Parfois même, on se demande s’ils n’usent pas magie… Mais Shan est fin psychologue, et passionné par la culture bouddhiste de ses compagnons de détention.

C’est très bien écrit, et l’intrigue bien conçue. Mais le plus intéressant, c’est le milieu et l’environnement : la manière dont les moines, vivant dans un monde spirituel, réagissent à l’oppression de l’occupant, ce qui est important pour eux et ce qui ne l’est pas, leur culture, leurs rites… tout cela rend le livre passionnant.

Début de l’histoire :

On appelait cela « s’en prendre quatre ». Le grand moine maigre paraissait suspendu au bord de la haute falaise et seul le vent brutal de l’Himalaya semblait le rattacher encore à la terre. Shan Tao Yun plissa les yeux pour mieux voir. Son cœur se serra. Son ami Trinle s’apprêtait à sauter. Trinle qui, pas plus tard que ce matin, avait murmuré une bénédiction à l’adresse des pieds de Shan afin qu’ils n’écrasent pas d’insectes en marchant. […]
Mais Trinle, toujours en suspens au bord de la falaise, regarda encore sous lui, de ses yeux calmes et attentifs. Des hommes qui s’en étaient pris quatre, Shan en avait vu, mais, chaque fois, l’anticipation s’était lue sur leur visage. C’est toujours ainsi que les choses se passaient, de cette même manière, abrupte et inattendue, comme s’ils se trouvaient poussés soudain par une voix que nul autre qu’eux ne pouvait entendre. Le suicide était un grand péché, et sa conséquence certaine, une réincarnation sous une forme de vie inférieure. Mais choisir de revivre à quatre pattes pouvait être une solution tentante face à la seule autre possibilité : une vie sur ses deux jambes dans une brigade de travaux forcés chinoise.

Eliot Pattison (né en 1951) est juriste de formation, économiste, et grand voyageur. Spécialiste de la Chine et passionné par le sort du Tibet, « Dans la gorge du dragon » ou « The Skull Mantra » pour le titre original (prix Edgar Award 2000) est le premier d’une série avec l’inspecteur Shan. On peut donc le retrouver dans d’autres histoires.

Zenphoto 1.3.1.2

Mise à jour de l’album Zenphoto en version 1.3.1.2.

Cette fois tout se passe à peu près bien, en modifiant le fichier setup.php comme pour la version 1.2.8. Enfin, il a fallu modifier d’autres lignes, mais cela a été assez rapide. A toutes fins utiles, voilà le fichier que j’ai utilisé.

J’en ai profité pour utiliser et adapter la dernière version du thème Zenpage, un peu plus joli (contraste, dégradé) :

ancienne version nouvelle version

Et la navigation a maintenant de belles icônes :

navigation navigation

Lectures, Ubuntu, Smartphone, Cinéma, entre autres…