Un film qui se passe en Bretagne, réalisée par une bretonne qui s’appelle Breton, difficile de ne pas y aller !
J’y ai passé un bon moment (le film dure 2h30, mais je ne les pas trop vue passées), même si en sortant je me demandais ce qu’avait voulu raconter la réalisatrice : une réflexion sur le temps qui passe empreinte de la nostalgie d’un passé perdu ou oublié ? C’est plutôt réussi sur ce point.
C’est l’histoire de Françoise, enseignante en histoire de l’art qui revient à Rennes enseigner à l’université où elle a elle-même suivi les cours dans sa jeunesse. C’était aussi l’époque des premiers concerts rocks à la salle de la Cité… Elle retrouve certains de ses amis d’enfance, et le temps a fait son œuvre… certains ont changé, d’autres pas… et d’autres encore ont perdu pied.
En parallèle, on suit l’histoire de Ion, un jeune étudiant dans la même université qui a un vécu difficile avec sa mère qu’il rejette car devenue SDF. On apprend plus tard que sa mère faisait partie des amies d’enfance de Françoise, apportant enfin un lien (bien tardif à mon goût) entre ces deux histoires.
Il y a d’ailleurs quelques scènes revues deux fois, chacune sous l’angle de ces deux histoires parallèles, sans doute censées montrer le lien entre elles, mais qui ne m’ont pas convaincu de leur utilité.
Françoise, toute à son retour aux origines, fait un rêve empli de symboles qui va intéresser deux profs qui collectent toute information liée au Breton et à l’histoire de la Bretagne. Des souvenirs d’enfance, oubliés au fond de sa mémoire, vont alors ressurgir… L’occasion à la fin du film de partir pour le Finistère, près Trégarvan sur la presqu’île de Crozon (et d’y découvrir au passage une magnifique boucle de l’Aulne !), et pour Françoise de retrouver la maison de son grand-père, qui avait le don de guérir de la peur…
Pascale Breton, née en 1960 à Morlaix, est une scénariste et réalisatrice de cinéma et de télévision.
Voilà la deuxième partie des « Gonzo papers » (les « tables de la loi » du journalisme gonzo !), publié par les éditions Tristram. Avec ce livre, j’aurai lu tout ce qu’ils ont publiés sur Hunter S. Thompson (voir la liste en fin d’article). Merci à eux pour ces publications…
Je ne peux que vous encourager à aller voir ce documentaire, j’y ai passé un très bon moment, et je n’étais manifestement pas le seul dans la salle : applaudissements à la fin de la projection, et de nombreux rires pendant. Jubilatoire !
Depuis que j’ai activé l’application « Cloud Station » sur la baie Synology, j’ai la possibilité de synchroniser certains fichiers de manière à ce qu’ils soient accessibles à la fois du PC et du smartphone.
Très déçu par ce documentaire, qui ne tient pas toutes ses promesses. Certes, on a droit à de très belles images d’animaux dans la nature (rien de très nouveau sur ce point), mais le reste ne suit pas : le cycle des saisons devrait être le fil rouge (sinon pourquoi le titre ?), mais il n’est pas perceptible, pas plus dans les images que dans les commentaires de la voix-off.
Cela faisait longtemps que j’avais envie de lire quelque chose à propos de Lou Andreas Salomé, cette femme qui fit tourner la tête à Nietzsche et Rilke… C’est à la radio que j’ai entendu parler de ce livre :
Je n’ai pas vraiment hésité quand j’ai vu ce film à l’affiche… Un documentaire qui s’attache à retracer la (trop courte) vie de
Je me suis récemment offert une Disk Station DS214 de Synology, histoire de faire un premier pas dans l’auto-hébergement…