Deuxième ballade aux temples d’Angkor hier mardi. Le ciel était couvert le matin, il y avait même eu des éclairs dans le ciel la veille au soir… Mais probablement pas totalement réveillé (départ à 6h du mat’, car ici il vaut mieux profiter des premières heures de la journée), je suis parti tranquillement en vélo, vêtu d’un simple tee-shirt. Ce n’est que sur la route (8 kms pour arriver aux premiers temples) que je me suis dit « tiens il pourrait bien pleuvoir… » (l’instinct breton sans doute). Et ça n’a pas manqué, la pluis s’est mise à tomber alors que j’arrivais à Prasat Kravan.
J’avais à peine posé le pied à terre qu’une petite vendeuse me proposait déjà un « rain-coat » ! Ils sont forts quand meme…
Ayant un puncho dans mon sac à dos (ce dernier étant à l’hotel), je me suis abrité sous les petites cabanes en bambou utilisées par les vendeurs de souvenirs et autres cartes postales (en compagnie de quelques cambodgiens), et ai simplement attendu la fin du plus gros de la pluie, soit une petite heure. Apres j’ai continué la ballade/visite, un peu mouillé mais bon, ça me servira de leçon.
Les temples visités cette fois-ci m’ont plus impressionnés que ceux de la premiere journee : la jungle ici montre sa puissance, et a nettement pris le dessus… Banteay Kdei et surtout Ta Prohm en sont deux magnifiques exemples.




Pour le savoir, consultez l’article traduit par Framasoft disponible
Vers quoi se dirige Internet ? est-il toujours le réseau libre et décentralisé si souvent vanté ? Rien n’est moins certain, et le futur ne semble pas aller dans cette direction.
Petit roman par la taille (une centaine de pages, je l’ai lu d’une seule traite), mais quel style soigné, épuré, tout empreint de culture japonaise. On y plonge avec délice : l’histoire, son mode de narration qui l’éclaire sous des angles différents, les sentiments exprimés… Tout révèle la parfaite maîtrise de l’auteur.
Quand j’ai commencé ce roman, je me suis vite rendu compte que l’histoire ne m’était pas étrangère. Et pour cause, j’avais déjà lu ce roman, il y a pas mal d’années certes, mais je l’ai retrouvé dans une pile, et avec la même couverture en plus, alors pas d’excuse… Ceci dit, je l’ai relu avec plaisir.