Cela faisait longtemps que j’avais envie de lire quelque chose à propos de Lou Andreas Salomé, cette femme qui fit tourner la tête à Nietzsche et Rilke… C’est à la radio que j’ai entendu parler de ce livre : Élisabeth Barillé était l’invitée de l’émission « Les racines du ciel » sur France Culture.
Ce petit livre de 90 pages est donc une sélection de textes de Lou Andeas Salomé, choisis et présentés par Élisabeth Barillé. Si le livre est petit, le contenu est assez dense, et la lecture des textes de Lou se révèle assez ardue intellectuellement. En fait …
Voici la fameuse suite à la trilogie de Stieg Larsson, tant attendue puisque son auteur fut victime d’une crise cardiaque avant la parution de son œuvre…
Après la polémique sur les droits d’auteur (la famille refusa d’inclure la compagne de 30 ans de Stieg Larsson car ils n’étaient pas mariés), je n’avais pas trop envie d’acheter ce livre, même si la part de recettes revenant à la famille sera intégralement reversée au magazine antiraciste Expo, fondé par Stieg Larsson. Finalement, je l’ai emprunté à des amis, et je l’ai lu en trois jours.
Retour à Joseph Conrad, avec son premier roman, celui qui le consacra comme écrivain… auprès des connaisseurs et des critiques essentiellement ! Car lors de sa sortie, le livre se vendît peu auprès du public, et encore aujourd’hui, ne fait pas partie de ses œuvres majeures.
Pourtant Conrad a pris le temps de peaufiner son premier récit : commencé en 1889, et à cette époque encore officier de marine, il va trimballer le manuscrit par delà les mers, et risquer de le perdre plusieurs fois. Le roman est finalement publié en 1895, et si Conrad n’en reçoit que très peu …
Bouquin offert par mon libraire (« sans aucune garantie, je ne l’ai pas lu… ») avant que je ne déménage ; sur la marge, il est écrit « Exemplaire offert »…
C’est donc l’histoire d’un type qui a la particularité d’avoir un célèbre homonyme, plus connu sous le nom de Vladimir Poutine. Voilà le point de départ du roman, et ce « double » va nous raconter sa vie et celle de l’autre, qu’il consigne dans ses carnets (rouge, gris, noir) : difficile d’échapper à l’omniprésence d’un tel homonyme.
Alors bon, je n’ai pas appris grand chose sur Poutine, la …
Je crois que c’était lors d’un reportage de Stade2 qui présentait le portrait pour le moins atypique de ce chef d’entreprise, également premier actionnaire et président du Montpellier Hérault Rugby. L’homme avait un parcours incroyable (fils de bédouin syrien), un discours très humble et reconnaissant à la France dont il a pris la nationalité.
Il est également écrivain, et j’ai eu envie de lire ce livre pour mieux connaître son histoire, qu’il est censé raconter dans ce roman. Mais finalement, l’homme se livre peu, et beaucoup de choses ne sont pas dites. Je suis resté un peu sur ma faim …
Quand j’avais lu Le général dans son labyrinthe de Gabriel Garcia Marquez, je m’étais dit qu’une biographie de Simon Bolivar devait être passionnante. J’ai donc regardé ce qui existait : rien de disponible en format poche, je me suis donc rabattu sur ce livre, écrit par un historien.
Et c’est un peu là le problème, Pierre Vayssière a choisi une approche thématique (l’homme politique, le chef de guerre, le mythe, etc..), là où j’aurai préféré une simple chronologie de sa vie, particulièrement l’histoire de ses conquêtes, qui n’occupe finalement que soixante dix pages de ce gros volume.
Après Un petit boulot qui m’avait bien plu, j’enchaîne avec le premier livre publié par cet auteur, un récit autobiographique sur les 42 petits boulots qu’il a exercés à la fin de sa licence de lettres.
On comprend mieux la vision de la société évoquée dans Un petit boulot à la lecture des expériences professionnelles par lesquelles Iain Levison est passé… Ayant dépensé 40 000 dollars (et donc complètement fauché) pour passer une licence de lettres qui se révèle totalement inutile (voir un handicap) pour trouver un travail, il nous raconte tous les petits boulots qu’il a du faire pour …
C’est par un article du Canard enchaîné que j’ai entendu parler de cet auteur ; c’était pour un autre livre (« Tribulations d’un précaire ») mais il y avait une référence à celui-ci, son premier roman. Il en était dit le plus grand bien, humour décapant dans un Amérique où sévit le chômage…
Je l’ai lu en moins d’une journée, assez vite accroché par l’histoire et le ton mordant avec lequel elle est contée : dans une petite ville des États-Unis, la crise économique a frappé de plein fouet, et plusieurs usines ont fermées, laissant beaucoup de personnes sur le …
Ultime recommandation de mon libraire à qui je venais dire adieu puisque je déménageais et quittais la ville : « Si tu aimes les westerns, tu vas aimer ce livre… Même Barak Obama l’a lu ! »…
Et il avait raison, c’est exactement ça ! Comme indiqué sur le quatrième de couverture : « Si vous devez ne lire qu’un seul western dans votre vie, lisez celui-ci», et la phrase est de James Crumley, un auteur de polars que j’aime bien, et que j’avais découvert avec « Le Canard siffleur mexicain».
Livre recommandé par le libraire : « jeune auteur qui vous emmène dans des histoires incroyables… » Je me suis laissé convaincre, et j’ai acheté son deuxième roman (Intérieur nuit) pour l’offrir à des amis (le libraire venait de le finir et en était encore tout retourné !), et pris celui-ci (son premier roman publié) pour moi-même : au moins, il est en format poche.
L’auteur serait donc l’enfant prodige de la littérature américaine, et ce roman a été élu comme l’un des meilleurs livres de l’année 2006 par le New-York Times.
Alors… bon, encore un auteur américain qui est …
Lectures, Ubuntu, Smartphone, Cinéma, entre autres…