 Ces fameux sondages dont on nous abreuve quotidiennement, quelle réalité ont-ils ? que ou qui représentent-ils ? Une enquête de la Sofres et du Credoc nous en dit plus.
 Ces fameux sondages dont on nous abreuve quotidiennement, quelle réalité ont-ils ? que ou qui représentent-ils ? Une enquête de la Sofres et du Credoc nous en dit plus.
D’abord 31% des français sont… insondables ! tout simplement parce que les instituts utilisent la ligne fixe de téléphone, les échantillons étant construits à partir des noms inscrits dans l’annuaire. Or 17% des français ne disposent pas de ligne fixe, et 14% l’utilisent uniquement pour la connexion internet.
Quelle est la population concernée ? les jeunes et les catégories modestes. Du coup, les « échantillons représentatifs » en prennent un coup dans l’aile.
Mais ce n’est pas fini: les sondeurs se heurtent à un refus de répondre dans plus de 30% des cas. Et les DOM-TOM sont totatement ignorés (2,3 millions d’habitants).
Pour finir, 40 à 50% de ceux qui consentent à répondre se disent indécis et capable de changer d’ici les élections.
Tout cela donne des résultats très fragiles, c’est le moins que l’on puisse dire. De là à dire qu’on nous raconte n’importe quoi… J’ai tendance à penser que les chiffres de Le Pen sont une fois de plus sous-estimés, et que la montée de Bayrou est essentiellement médiatique.
Réponse le 23 avril, pour un sondage grandeur nature…
Source le Canard enchaîné – mercredi 14 mars 2007
(en cliquant sur l’image, vous aurez la page des sondages du journal Le Monde, plutôt bien faite)
 
		

 Dimanche, il faisait tellement beau que je suis allé au cinéma. Sortir pour s’enfermer, c’est quand même sortir, non ?
 Dimanche, il faisait tellement beau que je suis allé au cinéma. Sortir pour s’enfermer, c’est quand même sortir, non ? Que se passe-t-il avec les chiffres du chômage ? le Canard l’expliquait déjà fin janvier. Alors voilà comment ça se passe habituellement:
 Que se passe-t-il avec les chiffres du chômage ? le Canard l’expliquait déjà fin janvier. Alors voilà comment ça se passe habituellement:
 Heatmiser, c’est un groupe de rock alternatif de Portland, Orégon, monté par Neil Gust et Elliott Smith. Comme c’est le premier (et le seul) groupe où a joué Elliott, j’ai écouté. Le groupe est fondé en 1992, produira 3 albums, et s’arrêtera en 1996. C’est un groupe rock classique, avec deux guitares solo, une basse, et un batteur.
 Heatmiser, c’est un groupe de rock alternatif de Portland, Orégon, monté par Neil Gust et Elliott Smith. Comme c’est le premier (et le seul) groupe où a joué Elliott, j’ai écouté. Le groupe est fondé en 1992, produira 3 albums, et s’arrêtera en 1996. C’est un groupe rock classique, avec deux guitares solo, une basse, et un batteur. Heatmiser: de gauche à droite: Brandt Peterson (guitare basse), Elliott Smith (guitare et vocal), Neil Gust (guitare et vocal), Tony Lash (batterie)
 Heatmiser: de gauche à droite: Brandt Peterson (guitare basse), Elliott Smith (guitare et vocal), Neil Gust (guitare et vocal), Tony Lash (batterie) Pendant que Martine et Blaise se balladent au Canada sur un traineau tiré par des chiens (c’était leur cadeau de mariage, pas le choix !), je me suis que c’était le moment de lire le livre qu’ils m’avaient filé.
 Pendant que Martine et Blaise se balladent au Canada sur un traineau tiré par des chiens (c’était leur cadeau de mariage, pas le choix !), je me suis que c’était le moment de lire le livre qu’ils m’avaient filé.
