Les vidéos du réveillon

Voilà quelques vidéos du réveillon, merci à Eric qui a pensé à les filmer, moi j’oublie tout le temps.

D’abord la chanson de la galette saucisse, chantée avec entrain par les grands comme les petits. Puis le spectacle que nous ont préparé les enfants : une chorégraphie sur l’air de « Tomber la chemise ». Et enfin deux morceaux sur la piste de danse, où l’ambiance bat son plein.

La chanson de la galette saucisse

Le spectacle préparé par les enfants

« We are the champions » sur la piste de danse

« Tomber la chemise » sur la piste de danse

Les voix de l’asphalte – Philip K. Dick

Les voix de l'asphalte L’autre jour, en passant chez Virgin, je vois ce bouquin sur une table. « Tiens, je ne le connais pas celui-là… ». Et sur la page arrière (la quatrième de couverture), je lis : « Dans ce roman inédit jusqu’à ce jour, et miraculeusement retrouvé, Philip K. Dick, plus visionaire que jamais, nous livre la radioscopie d’une amérique urbaine suffocante à travers le portrait mental d’un jeune homme au bord de la crise« . Evidemment, je le prend.

Ce n’est pas un roman de science-fiction, comme en a beaucoup écrit Dick. Plutôt un roman noir, d’abord par les pensées du jeune homme en question, Stuart Hadley, mais aussi par la vision de la société américaine décrite.

Stuart Hadley se pose des questions, ne trouve pas de sens à sa vie. Il est marié, a un bon boulot, il va être papa… tout pourrait aller pour le mieux. Et pourtant il ressent un malaise profond. Nous sommes à la fin des années cinquante, le maccarthysme vient de passer, c’est le début de la guerre froide. Stuart ne se retrouve pas dans les valeurs que la société prône : argent, travail, consommation, famille.

Il va alors s’égarer une première fois auprès de la société des Gardiens de Jésus, et de son leader dont il entend une conférence. Les Gardiens de Jésus annoncent que la fin du monde est proche : Stuart se dit que cela explique pourquoi la situation actuelle est si catastrophique : les choses commencent à se dérégler !
Puis il y rencontrera un femme, cultivée, mystérieuse. Elle publie une luxueuse revue crypto-fasciste .

Je vous laisse lire et découvrir ce qui se passera ensuite… et ce qu’il adviendra de Stuart. En préface, il y a un mot de Philip K. Dick, écrit en 1982, qui éclaire l’histoire :

J’habite un petit appartement du barrio mexicain et j’utilise une machine à écrire mécanique Olympia que j’ai achetée en 1964, le canapé de mon séjour est cassé, les chats l’ont saccagé, comme ma chaise. Tout le monde me dit que je devrais habiter les beaux quartiers d’Orange (ici, c’est le comté d’Orange) et que je devrais posséder une Mercedes-Benz. Je n’ai qu’un seul costume à moi ; Dieu sait comment je vais me débrouiller pour la première de Blade Runner. En gros, tout ce que je fais de mon argent – hormis les dépenses de base, l’alimentation, le strict nécessaire – , c’est aider des organisations humanitaires comme le American Friends Service Comittee. Ce que je veux dire, c’est que tout le monde me fait culpabiliser et me met mal à l’aise parce que je ne veux pas d’une maison à étage, et que je ne veux pas d’un nouveau traitement de texte. J’avais une petite amie qui roulait en Porsche Turbo, mais ça m’a fichu la trouille, et elle m’a fichu la trouille. J’ai à côté de moi une boite en carton dont je me sers pour ranger le matériel de ma machine à écrire – j’en étais vraiment venu au point où je me disais qu’il y avait un truc qui clochait en moi, à force de ne pas vouloir acquérir les attributs prouvant au monde mon status social, mon succès. Pourtant, ça fait trente ans que je suis un authentique écrivain et… je me suis rendu compte que je n’avais pas besoin de ça, que je n’ai rien à prouver à personne, et surtout pas à moi-même. Ecrire des romans et des histoires, c’est dur, comme travail, mais ce qui compte, c’est le travail proprement dit – pas seulement le travail produit, mais aussi l’acte de travailler ; la besogne en elle-même. Le fait que je tape sur du papier bon marché acheté au Market Basket Supermarket ne joue ni en ma faveur ni en ma défaveur dans le grand tableau des résutlats, là-haut, au ciel, autrement dit, dans mon propre coeur.

Vtt à Broons

Accéder à l'album Première sortie Vtt à Broons, c’était le 03 novembre. L’occasion de voir qu’Eric ne connait pas encore sa campagne. Au moins, on sait maitenant dans quelle direction ne pas aller ! On a finit par trouver un bois (forêt de la Corbière) avec des circuits balisés. La prochaine sortie, avec les cartes, devrait permettre d’en savoir plus.

Sinon, la nature avait revêtie ses couleurs d’automne, et rien que pour ça, la ballade valait le coup. Pendant ce temps-là, Cocotte désherbait l’emplacement de la future pelouse. Ah la vie à la campagne !

Le liseur – Bernhard Schlink

leliseur.jpg Bernhard Schlink est né en 1944 et vit à Berlin. Professeur de droit, il commença sa carrière littéraire par des romans policiers, avec un personnage principal appelé Selbs, qui vient de « selblst » : « soi-même ». En 1995, il publie Le liseur, roman partiellement biographique. Le roman connaîtra un succès mondial.
C’est l’histoire d’un adolescent de quinze ans qui fait par hasard la connaissance d’une femme de trente-cinq ans, dont il devient l’amant. Quand il la rejoint chez elle, un rite s’installe : il lui fait la lecture à haute voix de romans qu’il choisit. Puis un jour, la femme disparait.
Bien des années plus tard, alors étudiant en droit, il suit un procès et la reconnait parmi les accusée. Il ne l’a jamais oubliée, et il va peu à peu comprendre son secret.

Remarquablement écrit, c’est une réflexion profonde sur la vie. Voilà trois extraits pour vous faire une idée :

Je pense, j’arrive à une conclusion, je traduis cette conclusion en décision, et je m’aperçois que l’acte est une chose à part, qui peut être conforme à la décision, mais pas nécessairement. Plus d’une fois, au cours de ma vie, j’ai fait ce que j’avais pas décidé, et ce que j’avais décidé, je ne l’ai pas fait. C’est un je-ne-sais-quoi qui agit; qui part rejoindre une femme que je ne veux plus voir; qui fait à un supérieur la remarque qui va me coûter ma carrière; qui continue à fumer quand j’ai décidé d’arrêter, et qui cesse de fumer quand j’ai admis que je suis et resterai fumeur. Je ne veux pas dire que pensée et décision sont sans influence sur les actes. Mais les actes n’exécutent pas simplement ce qui a été préalablement pensé et décidé. Ils ont leur source propre et ce sont les miens de façon toute aussi autonome que ma pensée est ma pensée.

Mais quelle énergie il y avait en moi ! Quelle confiance d’être un jour beau et intelligent, supérieur et admiré ! Quelle espérance, mise dans mes rencontres avec des personnes et des situations nouvelles !
Est-ce cela qui me rend triste ? Ce zèle et cette foi qui m’habitaient alors et arrachaient à la vie une promesse qui ne put jamais être tenue ? Quelquefois, je vois le même zèle et la même foi dans les visages d’enfants et d’adolescents, et je les vois avec la même tristesse que je me revois moi-même à l’époque. Cette tristesse est-elle la tristesse tout court ? Est-ce elle qui nous accable lorsque de beaux souvenirs se détériorent, parce que le bonheur dont on se souvient ne tenait pas seulement à la situation, mais à une promesse qui n’a pas été tenue ?

J’ai longtemps cru qu’il existait un progrès dans l’histoire du droit, une évolution en dépit de petits reculs et de terribles régressions, vers plus de beauté et de vérité, plus de rationalité et d’humanité. Depuis que cette croyance s’est révélée chimérique, j’aime à me représenter autrement le cours de l’histoire du droit : l’image avec laquelle je joue est celle d’un cours certes orienté vers un but, mais le but où il parvient, après toutes sortes de convulsions, de confusions et d’aberrations, n’est autre que son point de départ, d’où il lui faudra repartir à peine arrivé.

Palm sous Ubuntu

palmz22.png J’avais un petit problème avec mon Palm : je n’avais réussi à le synchroniser avec l’agenda d’Evolution (le client mail par défaut d’Ubuntu, équivalent Outlook du libre) qu’avec la version Egdy Eft, il y a un an. Et dans la douleur encore !

Impossible d’y arriver avec la version précédente… ni la suivante ! Récemment passé à Gutsy Gibbon, je refais une tentative, sans succès. Ce n’est pas que cela me préoccupe tant que ça, mais bon : ne pas avoir une fonctionnalité, c’est une chose. En voir une disparaître en est une autre, on supporte moins facilement. C’est typiquement une lacune qu’avait Linux comparé à Windows, pour une opération aussi simple.

Mais le monde Linux avance vite… pour qui sait être patient !

C’est en lisant la liste des nouvelles fonctionnalités de la prochaine version d’Ubuntu que la première bonne nouvelle est arrivée :

Logiciel de synchronisation pour Ubuntu.
Intégration de OpenSync et Conduit dans Ubuntu pour permettre la synchronisation facile avec un maximum de PDA, téléphones portables, des services Internet avec des multiples pims et une notification de synchronisation pour un matériel nouvellement connecté.

Chouette, plus que 6 mois à attendre me dis-je… Et puis je finis par tomber sur une page intitulée Easy Palm Device Setup. Voilà la manip, elle est très simple et surtout très efficace. Il faut d’abord lancer un éditeur de texte et créer un fichier, en tapant la commande suivante :

[sourcecode language=’php’]
gksudo gedit /etc/udev/rules.d/10-custom.rules
[/sourcecode]

Entrez votre mot de passe, puis coller le texte suivant dans le fichier vide qui s’ouvre :

[sourcecode language=’php’]
BUS= »usb », SYSFS{product}= »Palm Handheld* », KERNEL= »ttyUSB* », NAME{ignore_remove}= »pilot », MODE= »666″
[/sourcecode]

Il faut maintenant éditer un second fichier, déjà existant celui-là :

[sourcecode language=’php’]
gksudo gedit /etc/modules
[/sourcecode]

et ajouter après la dernière ligne :

[sourcecode language=’php’]
visor
[/sourcecode]

Voilà. Il suffit de redémarrer, ou de taper la commande suivante :

[sourcecode language=’php’]
sudo modprobe visor
[/sourcecode]

Et voilà, le Palm est devenu Plug-and-Play… « behold the power of UDEV » dit-il.
Mais qu’est-ce que c’est, Udev ?

Sous Unix, le répertoire /dev sert à contenir les périphériques sous forme de fichiers. Udev est le nouveau sytème pour gérer le répertoire /dev, et fournir une connexion robuste aux applications. Souple, il permet à l’utilisateur de définir des régles, et d’associer un nom constant au périphérique. Ce qui simplifie énormément la gestion des périphériques Plug&Play, qui sinon n’ont pas toujours le même nom, selon l’ordre de branchement.
Dans le cas du Palm, puisque toutes les applications cherchent à se synchroniser avec /dev/pilot, Udev lui affecte ce nom (name=pilot), et le tour est joué.

Pour en savoir plus, il y a toutes les explications sur cette page de la documentation française.

Zenphoto et Zenphotopress

zenphoto.png La mise à jour de Zenphoto a posé quelques problèmes, ainsi que celle de Zenphotopress, le plugin WordPress qui permet d’insérer facilement les images des albums dans un article.

Le premier problème, c’est que dans cette nouvelle version de Zenphoto, l’ancien répertoire zen est maintenant nommé zp-core. La conséquence, c’est que tous les liens vers les images dans vos précédents articles deviennent invalides, puisqu’ils appellent i.php qui se trouve dans ce répertoire. La seule solution est d’aller modifier dans la base de données ces liens en question.

Il faut donc se connecter à la base de données (avec phpMyAdmin par exemple), et lancer la commande SQL suivante :

[sourcecode language=’php’]
UPDATE wp_posts SET post_content=replace(post_content,’/zen/i.php’,’/zp-core/i.php’);
[/sourcecode]

Dans l’exemple, wp_posts est le nom de ma table (préfixe wp_).

Le second problème, c’était que la version 1.3 de Zenphotopress ne fonctionnait pas. Les liens créés dans l’article étaient invalides. Après quelques recherches, j’ai posé la question sur le forum de zenphoto. Le lendemain, le développeur me répondait qu’une version 1.3.1 était maintenant disponible, et qu’elle corrigeait ce bug. Belle réactivité ! Je l’installais aussitôt, et désormais tout fonctionne à merveille.

Showvin

showvin.jpg Voilà une nouvelle manière de découvrir le vin, et qui plus est initiée par mon cousin Olivier. Le site Showvin vous propose de vous abonner pour recevoir chaque mois 2 vins à découvrir, accompagnés d’un petit livret Entre-vin où l’on trouve des conseils de dégustation, un descriptif du domaine et du vigneron pour chaque vin, ainsi que plusieurs articles autour de l’univers du vin.

Il s’agit si j’ai bien compris de vins du Languedoc, là où est installé Olivier. Mais il devrait remonter vers le Rhône au fur et à mesure si j’ai bien compris. C’est un amoureux du vin, et passe son temps à parcourir le terroir et rencontrer les vignerons. Je ne doute pas qu’il fasse une très bonne sélection, avec des viticulteurs qui ont la volonté de faire un produit de qualité.

C’est original, cela personnalise la découverte du vin, connaissant un peu de son histoire. Il y a 3 formules, chacune pour un budget différent. Profitez également du blog avec des articles intéressants, comme sur la consommation modérée du vin et l’effet sur la santé, mentale cette fois ! Il ne s’agit plus des artères, mais du fonctionnement du cerveau. Ça me donnerait presque envie…

C’est aussi une excellente idée de cadeau, en cette période de fêtes !

Souhaitons bonne chance à Olivier dans son entreprise, et n’hésitez pas partager l’information avec vos amis.

Problème de vision

crs.png

Pierre est un lycéen de Nantes, qui a participé le 27 novembre à une manifestation contre la loi sur la réforme des universités, la LRU. Il se trouvait sur la pelouse du rectorat, comme un bon milliers d’autres manifestants, quand les CRS ont chargé, tirant au flash-ball. Pierre reçoit une balle dans l’oeil, et est transporté à l’hôpital en urgence. Dès le lendemain, le préfet s’empresse d’annoncer que le diagnostic est plutôt rassurant. Les médecins du CHU, 2 jours plus tard, estiment le pronostic toujours incertain, et relèvent « un potentiel de risque de perte complète de la fonction visuelle, des complications peuvent survenir » (décollement de la rétine, glaucome post-traumatique). A l’heure actuelle, il est toujours hospitalisé.

Au delà de la violence de la réaction policière (le flash-ball dont on nous a tant dit qu’il était inoffensif), c’est le silence médiatique qui est remarquable. Pas un mot dans les médias… Même chose pour la grève dans les universités, qui continue : 30 universités toujours bloquées en fin de semaine dernière, ainsi que 40 lycées. Mais rien dans les médias : il y a eu un accord entre la ministre et les principaux syndicats, qui ne soutiennent plus les grèvistes. Cela n’existe donc plus. Et les CRS débloquent les univestistés une à une,toujours dans le plus grand silence médiatique.

Pour s’informer, reste internet et les sites du réseau Indymedia. Alimenté par les militants eux mêmes, les informations ne sont pas forcément fiables, mais on peut y trouver des témoignages comme celui-ci :

On retrouve Valérie Pécresse qui pose en justicière sur la première page de 20 minutes pour  » Sortir les étudiants des filières impasses ». Plein de mots doux et sucré, un ton mielleux, un « plan Réussite en licence », « de l’anglais dans chaque filière » et une belle démonstration de surf sur la vague des clichés sur l’université. Pas un mot sur le mouvement, le signe LRU n’est pas prononcé, le mot réforme est absent. L’ignorance est telle que le mouvement qui rassemble des étudiants, des personnels, des lycéens et des citoyens ne mérite même pas une réponse, même pas une contre-argumentation. Rien. Comme si le mouvement n’existait pas. Une mise en perspective par la journaliste ? Aucune !
Avant le gouvernement se bouchait les oreilles, maintenant, il offre les bouchons. Et les bandeaux pour les yeux. Et des baillons pour la bouche. Moi, je ne sais pas où se situe le blocage. Je ne suis pas certaine qu’il soit dans les universités.

Vous trouverez sur ce bon site une synthèse de la réforme, ainsi qu’une série de liens. Nos étudiants ont au moins de bonnes raisons de s’inquiéter semble-til.

(source « Le Canard enchaîné » – mercredi 12 décembre 2007)

Week-end du 11 novembre

Accéder à l'album C’était chez Eric et Cocotte, et c’est encore Halloween pour les enfants comme le prouve cette photo… Je croyais que ça avait disparu ? Bref, voilà les photos du week-end, où ceux qui avaient accepté l’hospitalité fûrent enrôlés de force le lendemain pour ranger du bois. Bien joué Eric ! C’était totalement fortruit nous a-t-il assuré.

Heureusement, on a eu droit à une petite ballade dans un parc à Chateaubourg, avant que la nuit ne tombe. Il y avait des sculptures d’exposées, c’était sympa, même si ça manquait de lumière (c’est le photographe qui parle). Faire découvrir la culture à ses ouvriers, c’est déjà énorme !

Sinon, ce sont les premières photos avec les données EXIF. La taille des images est également passée à une hauteur de 800 pixels (au lieu de 600).

Zenphoto 1.1 (suite et fin)

zenphoto.png Pas mal de petites modifications dans le thème pour profiter des dernières possibilités de Zenphoto. Le mieux est de les lister :

Vue Archive : Dans le « top-menu », ajout d’un lien vers une vue Archive, qui permet de lister les photos par mois. J’aurais plutôt imaginé une liste des albums, ce serait plus pratique. Je verrai si je peux la modifier.Dans la foulée, suppression du lien vers l’ancien site, qui ne sera plus accessible que par le menu du blog. Il me reste à rediriger la page d’accueil elle-même.

exif.png Au-dessus de l’image sont affichés deux nouveaux liens : à droite Taille Originale our afficher l’image en taille réelle, et à gauche Infos EXIF pour afficher les données enregistrées lors de la prise de vue. Enfin pour l’instant vous ne verrez rien concernant ces données EXIF, ni la page s’obscurcir et afficher la fenêtre ci-contre :

En effet, je me suis aperçu que je perdais ces infos lors de la préparation des albums (probablement lorsque je réduis leur taille en 800×600). Il faut que je regarde comment faire, le prochain album devrait donc comporter ces infos si c’est possible.

Enfin, le « footer » (bas de page) a aussi été modifié pour indiquer le nombre d’albums, de sous-albums et de photos (3622 à ce jour). Il y a aussi le lien RSS, mais qui permet de visualiser les 10 dernières photos ajoutées. Là encore, je m’attendais àvoir les derniers albums. Apparemment, c’est fait comme ça.

Tout cela donne un petit coup de dépoussiérage à l’album photo, avec les nouvelles possibilités qu’apporte cette nouvelle version.

Lectures, Ubuntu, Smartphone, Cinéma, entre autres…