Brûlons tous ces punks pour l’amour des elfes – Julien Campredon

Brûlons tous ces punks pour l'amour des elfes - Julien Campredon Voilà un livre que la libraire m’a mis dans les mains, en me promettant du bon temps, un bon délire, etc… S’agissant d’un petit recueil de nouvelles au prix modéré (5€), je n’ai pas été très regardant, et suis reparti avec ce livre, en plus de ceux que je venais chercher (et que j’avais sélectionné moi-même).

Je n’aurais pas du l’écouter ou la croire… Comme quoi, les goûts littéraires, ça ne se partage pas forcément. Dès la préface de l’éditeur, faite essentiellement d’une pseudo-lettre de l’auteur (on s’interroge déjà…), je me suis dit : « Aïe, c’est pas trop mon truc ce genre de délire ». Après une ou deux pages de la première nouvelle, j’ai refermé le livre définitivement.

Je ne peux donc pas en parler plus que ça… c’est du délire, plutôt bien écrit mais bon, écrire des histoires sans queue ni tête d’une dizaine de pages, ce n’est pas forcément un grand exploit. Ce n’est en tout cas pas ce que je recherche dans la littérature : un minimum de sens, des auteurs qui ont quelque chose à dire, sont grandement appréciés.

Une nouvelle occasion de citer Schopenhauer 😉 :

L’art de ne pas lire est très important. Il consiste à ne pas s’intéresser à tout ce qui attire l’attention du grand public à un moment donné. Quand tout le monde parle d’un certain ouvrage, rappelez-vous que quiconque écrit pour les imbéciles ne manquera jamais de lecteurs. Pour lire les bons livres, la condition préalable est de ne pas perdre son temps à en lire de mauvais, car la vie est trop courte.

Julien Campredon n’a pas de page wikipedia. J’ai lu qu’il était né en 1978.

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